Le réchauffement climatique est un mensonge

Un petit article pour résumer l’essentiel du mensonge sur le réchauffement climatique lié à l’activité humaine.

Interview du climatologue Marcel Leroux en 2007 (extraits)

Marcel Leroux, climatologue, professeur émérite de climatologie à l’université Jean Moulin Lyon 3, il était directeur du Laboratoire de climatologie, risques et environnement. Il a été nommé chevalier dans l’Ordre des Palmes Académiques le 31 octobre 2002.

Le professeur explique qu’on ne peut pas additionner des températures de différentes régions pour en faire une moyenne : cela n’a aucun sens. Il déclare qu’aucune preuve n’a jamais été donnée sur le fait que l’augmentation du CO2 provoquait un effet de serre et réchauffement. Par ailleurs, on a constaté qu’en réalité c’était d’abord la température qui augmentait puis le taux de CO2, qui est donc une conséquence et non une cause. Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau. Contrairement à ce que propagent le GIEC, les médias et les politiciens mondialistes, une augmentation de CO2 notable ne provoquerait aucune disparition d’espèces. Au contraire ça serait très bénéfique pour la végétation, qui pousserait mieux et capterait ce CO2.

-interview de Marcel Leroux en 2007-

Tout le monde s’accorde à dire que la planète se réchauffe. Qu’en pensez-vous ?

En me parlant de réchauffement, vous voulez sûrement me faire peur, moi qui ai vécu 40 ans en Afrique ! Personnellement, je souhaite que la terre se réchauffe. C’est d’ailleurs la position de la Russie, qui considère qu’un réchauffement serait bénéfique. En effet, cela nous ferait faire d’immenses économies de chauffage, et donc de matières premières comme le pétrole. En outre, nous gagnerions de larges étendues de terres cultivables en direction des régions subpolaires, comme cela fut le cas dans les années 1930 à 60. A l’époque, les exploitations agricoles du nord du Canada et de la Scandinavie s’étaient en effet déplacées vers le nord. Dans les années 1970, lorsqu’il était plutôt à la mode de parler du retour du petit « âge de glace », elles ont rétrogradé vers le sud. La même chose s’est d’ailleurs produite en Afrique subsaharienne, où les éleveurs se sont d’abord déplacés vers le nord, puis sont redescendus vers le sud, lorsque la sécheresse a commencé dans les années 1970. Car lors de toute période chaude, à l’échelle paléoclimatique comme à l’échelle récente, les pluies tropicales sont plus abondantes. Ce qui veut dire que paradoxalement, si le réchauffement était effectif, la sécheresse cesserait dans le Sahel ! Mais malheureusement, ce n’est pas le cas.

Pourquoi parle-t-on alors de réchauffement climatique ?

Parce ce que tout le monde accorde foi à la courbe de température globale publiée tous les ans par l’OMM (Organisation Météorologique Mondiale) et le GIEC (Groupe intergouvernemental sur le changement climatique). Or, cette courbe n’est autre qu’une moyenne des températures mesurées dans 7.000 stations de la planète, traitées à l’Université d’East Anglia, à Londres, sous la direction de Philipp Jones. L’augmentation serait de 0,6° de 1860 à nos jours, soit la différence de température qu’on observe à l’échelle moyenne annuelle entre Nice et Marseille. Quel extraordinaire bouleversement ! Une telle valeur, donnée avec une fourchette de précision de plus ou moins 0,2° sur un siècle et demi, est ridicule, car elle est de l’ordre de la précision de la mesure. Cette courbe n’est d’ailleurs pas validée par les mesures récentes effectuées par les capteurs de satellites qui, depuis 1978, ne montrent au contraire aucune évolution notoire, pas plus que les mesures issues de millions de radio-sondages. En outre, comment parler de moyenne à l’échelle globale en mélangeant des températures marines, continentales, urbaines et surtout des températures de régions qui se refroidissent alors que d’autres se réchauffent ? Par exemple, l’Arctique occidental (au nord du Canada) se refroidit, alors que l’Arctique au nord de la mer de Norvège se réchauffe. Que fait-donc alors vraiment l’Arctique ? On ne peut pas du tout dire avec certitude que la terre se réchauffe.

Les modèles ne prévoient-ils pas pourtant une augmentation de la température de 2 à 6°C d’ici l’an 2100 ?

On n’a pas besoin de modèle pour faire une telle prédiction. Le chimiste suédois Svante Arrhénius (1859-1927) avait déjà « prédit » exactement la même chose en 1903 ! Il avait appliqué une règle de trois entre le taux de CO2 de son époque, celui du futur et la température correspondante. C’est exactement ce que font les modèles informatiques en insistant sur l’effet de serre. […]

Pourtant, il y a unanimité chez les climatologues pour dire que le réchauffement est une réalité …

Non, on insiste sur un prétendu consensus chez les climatologues, alors que celui-ci n’existe pas. Ensuite, il y a plusieurs sortes de« climatologues ». Prenons le GIEC, présenté comme l’autorité en la matière. En réalité, il s’agit d’un groupement intergouvernemental, c’est-à-dire que la nomination de ses membres est politique, et ne répond pas à des critères scientifiques.

http://guerredeclasse.fr/2019/08/07/marcel-leroux-le-rechauffement-climatique-est-un-mythe/

Le GIEC : ce n’est pas une institution scientifique

Créé en 1990 par l’ONU, le GIEC a pour rôle de défendre le réchauffement climatique et de montrer que la cause est l’activité humaine. Tout ce qui irait dans l’autre sens est nié, même s’il s’agit de preuves scientifiques sérieuses. Voici la description de sa mission :

« [Le GIEC] a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au réchauffement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation. Il n’a pas pour mandat d’entreprendre des travaux de recherche ni de suivre l’évolution des variables climatologiques ou d’autres paramètres pertinents. »

Nous ne devons pas considérer les travaux de cette institution comme fiables car leurs conclusions vont forcément dans le sens du réchauffement climatique lié à l’activité humaine, comme le demandent leurs financeurs. Il ne s’agit pas de science mais de politique.

Il en est de même pour la jeune porte-parole écolo Greta Thunberg, qui n’a pas forcé les portes de l’ONU pour aller s’y exprimer et qui sert à faire la propagande de la vision des mondialistes.

Voir « Les douze mensonges du GIEC » – Christian Gérondeau

Voir l’article Mensonges sur le climat

Le faux coupable : le CO2

Le CO2 représente 0,0415 % de notre atmosphère. Les gens qui veulent toujours notre bien oublient que le CO2 est ce que respirent les végétaux pour produire l’oxygène. Les problèmes d’asthme et de respiration actuels proviendraient en partie du fait qu’on n’absorbe plus assez de CO2.

Dans une publication de 2017, des scientifiques ont fait part de nouveaux résultats montrant une baisse notable de l’impact du CO2 sur le changement climatique. Ils ont donc revu leur modèle de projection qui avait surestimé de 50% l’impact du CO2. https://www.nature.com/articles/ngeo3031

Il faut faire très attention car il s’agit d’une corrélation. Or ce serait les changements de température qui feraient varier le taux de CO2, pas l’inverse. De plus, si l’augmentation de CO2 est notable, la végétation poussera mieux en captant davantage de CO2 pour rejeter de l’oxygène.

Le climat change dans tout le système solaire

Le climat de notre planète a toujours changé. Il est illusoire actuellement de prédire comment, car nous devons admettre que nous ne connaissons pas les causes diverses, allant dans un sens et dans l’autre, ainsi que les interactions entre tous les paramètres. On n’est même pas encore parvenu à le faire pour la concentration en CO2.

Voici quelques exemples :

Pluton : Sa pression atmosphérique a augmenté de 300 % entre 1989 et 2002 avec une hausse des températures de surface. Le niveau de rouge s’est renforcé de 20 % à 30 % en 2002.

Saturne : Son nuage d’énergie plasmique est devenu 1000 % plus dense que prévu entre 1981 et 1993. De puissantes émissions de rayons X ont été observées pour la première fois en 2004.

Vénus : Le degré de luminosité de sa face nocturne a augmenté de 2500 % entre 1975 et 2001.

Mars : En 1997 la sonde Mars Global Surveyor a été endommagée par une augmentation inattendue de 200 % de la densité de son atmosphère. En 1999 un ouragan est apparu pour la première fois depuis plus de 20 ans et il était 300 % plus grand que tous ceux observés auparavant. La pire tempête de poussières a enveloppé rapidement toute la planète en 2001.

Voir d’autres changements dans le système solaire dans mon article CO2 et changement climatique.

Notez que tous ces changements très importants (bien plus que les petites variations terrestres) ne sont absolument pas expliqués et restent un mystère.

Selon la NASA, le principal facteur de changement climatique est le soleil

En 2000, la NASA a publié sur le site Web de son Observatoire de la Terre des informations sur la théorie du climat de Milankovitch, révélant que la planète change en fait en raison de facteurs extérieurs qui n’ont absolument rien à voir avec l’activité humaine.

La Terre peut se déplacer à la fois sur son axe et sur son orientation rotationnelle. Aux inclinaisons les plus élevées, les saisons de la terre deviennent beaucoup plus extrêmes, tandis qu’aux inclinaisons les plus faibles, elles deviennent beaucoup plus douces. Une situation similaire existe pour l’axe de rotation de la terre, qui, selon l’hémisphère pointé vers le soleil pendant le périhélie, peut avoir un impact important sur les extrêmes saisonniers entre les deux hémisphères.

Lorsque Milankovitch a proposé son modèle pour la première fois, il a été ignoré pendant près d’un demi-siècle. Puis, en 1976, une étude publiée dans la revue Science a confirmé que la théorie de Milankovitch était en fait exacte et qu’elle correspondait à diverses périodes de changement climatique survenues au cours de l’histoire.

En 1982, six ans après la publication de cette étude, le Conseil national de la recherche de l’Académie nationale des sciences des États-Unis a adopté la théorie de Milankovitch comme vérité, déclarant que :

… Les variations orbitales restent le mécanisme de changement climatique le plus étudié sur des échelles de temps de dizaines de milliers d’années et constituent de loin le cas le plus clair d’un effet direct d’un changement d’insolation sur la basse atmosphère de la Terre.

« Le débat sur le changement climatique ne porte pas sur la science. C’est un effort de l’élite pour imposer des contrôles politiques et économiques à la population », a écrit un commentateur du Hal Turner Radio Show.

« Et c’est une autre façon de diviser la population contre elle-même, avec certains qui croient au réchauffement climatique d’origine humaine et d’autres qui n’y croient pas, c’est-à-dire diviser pour régner. »

La NASA admet que le changement climatique est dû aux modifications de l’orbite solaire de la Terre, et non aux SUV et aux combustibles fossiles

Ceci est confirmé par Antonino Zichichi, professeur émérite de physique supérieure à l’université de Bologne, et auteur de plus de 1.100 travaux scientifiques, dont sept découvertes, cinq inventions :

′′Le réchauffement climatique dépend du moteur météorologique dominé par la puissance du soleil. Les activités humaines affectent le niveau de 5 %. 95 % dépendent plutôt de phénomènes naturels liés au soleil. Attribuer aux activités humaines le réchauffement climatique est sans fondement scientifique. »

Il ajoute : ′′Greta Thunberg, n’aurait pas dû interrompre ses études.′′

D’après une étude menée en 2015 par la Royal Astronomical Society, un organisme de recherche astronomique britannique, l’activité du Soleil pourrait brutalement chuter de 60% d’ici les années 2030-2040, provoquant une baisse de température généralisée. « nos prévisions montrent une exactitude de 97%. »

En 2014, la NASA alertait déjà sur la possibilité d’un tel phénomène. «Nous allons tout droit vers des hivers très rudes, vers un mini âge de glace» confiait Richard Harrison du Rutherford Appleton Laboratory à la BBC, s’appuyant sur la nette diminution des taches solaires depuis 2011. « L’augmentation des tâches solaires aurait pour conséquence l’accroissement des radiations sur l’ensemble de notre système solaire. Du fait que la masse du Soleil représente 99,8% de la masse du système solaire, quelques degrés de plus de chaleur solaire auraient d’importantes répercussions sur la température moyenne de la Terre et sur ses cycles météorologiques. » (extrait de Crossing the Event Horizon)

Refroidissement ?

Depuis 2006 on constate un refroidissement de la troposphère (soit la partie de l’atmosphère terrestre dans laquelle nous sommes et qui monte à plus ou moins 10 km de hauteur) :

« Il faut savoir aussi que dans le passé, selon les études des carottes de glace, des refroidissement brutaux se sont produits, soit une perte de plusieurs degrés en à peine quelques années. Un refroidissement a des conséquences immédiates plus graves qu’un réchauffement: de grandes parties de l’hémisphère nord seraient sous la glace pendant de longs mois, avec ralentissement ou arrêt partiel de l’activité économique, voire totale dans certaines régions. Transports ralentis ou immobilisés, mortalité forte due au froid, coût phénoménal du chauffage, agriculture régionale arrêtée, réduction des échanges, émigration vers le sud. Il faut ajouter que si de fortes explosions volcaniques se produisent, dont les cendres obscurciraient le ciel, le froid sera accentué. »

« Il faut plus de temps pour évaluer une tendance. Cinq ans c’est encore court, et cela pourrait faire partie des fluctuations naturelles du climat. Si elle se confirme, cela indiquerait que probablement l’aspect anthropique du réchauffement doit être relativisé: d’autres mécanismes climatiques sont en jeu, plus fort que l’accumulation de gaz à effet de serre. Il serait d’ailleurs amusant que ces gaz nous préservent d’un refroidissement trop brutal.« 

Le refroidissement climatique est en route

Graphique des températures selon les études des carottes de glace (à lire de droite à gauche) :

Le bilan de Fondation Climate Intelligence

La Fondation Climate Intelligence, composée de 1000 scientifiques, ingénieurs et autres experts de plus de 40 pays sont d’accord : Il n’y a pas de crise climatique.

Notre planète se porte bien. On observe une forte tendance à la baisse des catastrophes et des décès liés au temps et au climat.

-Voir le site de la Fondation Climate Intelligence-

Interview d’un climatologue sur CNN

-Voir l’interview en vidéo-

Simplifications trompeuses

On a vu qu’il est mensonger d’affirmer que l’augmentation de CO2 provoque un réchauffement. Rien n’a jamais établi ce fait, et diverses preuves montrent que c’est le contraire.

Je vois souvent des gens dire « oui mais des glaciers fondent et la banquise aussi ». Evidemment, sauf que ça n’est pas une preuve : d’autres glaciers se créent et la banquise gèle ailleurs. Ce genre d’image n’est pas un argument scientifique. Si je prenais une photo de végétation sèche en plein été vous en concluriez au réchauffement climatique ? Si je prenais une photo du même endroit enneigé en plein hiver vous diriez que c’est la preuve que le climat se refroidit ? C’est la même chose. Evidemment il est plus facile de montrer de la glace qui fond et se détache par morceau que de l’eau qui gèle !

Marcel Leroux :

« La glace de mer fond au nord de la mer de Norvège ou dans la région des Aléoutiennes dans le Pacifique nord, où arrivent de l’eau marine et de l’air chauds. En revanche, la banquise ne varie pas au Nord du Canada. Comme l’écrit correctement M. Postel-Vinay, rédacteur de la revue La Recherche, «le gros de la calotte antarctique n’a pas fondu depuis sa formation, voici 60 millions d’années.» L’observation satellitale montre même qu’au cours de la période 1979-1999, qui est celle de la plus forte hausse supposée de la température, la surface de la banquise a globalement augmenté autour du continent antarctique. Au Groenland, certaines régions fondent, notamment sur les pourtours, mais la masse de glace augmente au centre de l’île, comme la masse de la plupart des glaciers scandinaves. Le refroidissement des pôles a atteint 4 à 5°C pendant la période 1940-90 – c’est-à-dire plus de la moitié, mais en négatif, de la valeur prévue pour 2100 ! C’est le démenti le plus flagrant apporté aux prévisions des modèles. Il est d’ailleurs surprenant que ceux-ci aient pu concevoir un tel réchauffement alors qu’il n’y a aucune raison physique qui puisse le justifier ! Est-ce seulement pour faire peur aux gens avec une prétendue montée des eaux qui en résulterait ? »

Et évidemment, une image marque davantage les esprits que de véritables explications scientifiques, ce genre de photos de pauvres pingouins sur un bloc de glace sert de preuve pour la fonte des glaces sur toute la planète :

On contrôle la météo depuis 1970

Zbiniew Brzezinski a déclaré en 1972 :

« Nous disposons de méthodes capables de provoquer des changements climatiques, de créer des sécheresses et des tempêtes. »

Zbiniew Brzezinski était conseiller politique au Département d’État de 1966 à 1968, puis conseiller à la Sécurité nationale sous Carter de 1977 à 1981, puis dans l’administration Reagan (Commission présidentielle sur la guerre chimique, Commission mixte du Conseil de sécurité nationale du département de la Défense, Conseil du renseignement extérieur), puis de Bush senior. Il est le cofondateur, avec le multimilliardaire David Rockefeller, de la commission Trilatérale en 1973, qu’il dirige jusqu’en 1976.

Il ne précise pas par quels moyens, mais on peut citer les systèmes HAARP et EISCAT qui en sont capables et sont largement documentés. Ajoutons aussi les chemtrails. Une enquête serait en cours en Australie, les chemtrails seraient la cause des pires inondations jamais connues en Tasmanie depuis plus de 40 ans. Voir Enquete en Australie sur les chemtrails

Voir aussi

Dans les années 1970, c’est un refroidissement global qui inquiétait la communauté scientifique

Climat: pourquoi les températures mondiales baissent depuis 15 ans

Arctique : début d’été le plus froid en 64 ans

La Grande fraude du réchauffement climatique

Réchauffement climatique : c’est l’astrophysique, andouille !

Le Secret des nuages (document Arte)

Dans l’ombre du ciel

Biocarburant, le mensonge vert

BP, les médias et Obama mentent: impossible de colmater le volcan de pétrole

Crash pétrolier : Cruel sera le réveil

Conclusion

Les données scientifiques n’indiquent absolument pas que le climat se réchauffe sur Terre. Le CO2 n’est pas la cause des divers changements, qui ont existé de tous temps.

Le facteur principal est le Soleil, par son activité intrinsèque et son effet sur la Terre selon les petites modifications de son orbite. Ainsi, la NASA et la Royal Astronomical Society prévoient un refroidissement général assez important dans les prochaines décennies.

Le GIEC et la porte-parole du climat de l’ONU Greta Thunberg font des discours politiques mensongers dans l’intérêt d’une écologie mondialiste et la taxation de l’énergie. Les manipulateurs parlent de consensus scientifique alors que ceux qui défendent l’idée de réchauffement climatique ont des intérêts financiers à le faire. Il ne s’agit pas de science mais de mensonges politiques.

Un glacier qui s’écroule et la fonte d’un morceau de banquise ne sont pas des preuves scientifiques. Ces images ont pour but d’agir émotionnellement sur des gens incapables de prendre du recul et de comprendre la complexité du problème, ainsi que l’enjeu des débats.

De nombreux scientifiques intègres ont des conclusions opposées à celles du GIEC et des politiciens mondialistes. Citons par exemple Antonino Zichichi, Marcel Leroux et la Fondation Climate Intelligence.

Ajoutons que des modifications locales, à l’échelle de pays, pourraient être volontaires car il a été officiellement déclaré en 1972 par un haut responsable qu’ils sont capables de contrôler le climat.

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