L’essentiel de la fraude du NOM

Voici une synthèse de la théorie des lois et de la fraude du NOM légal.

L’être humain

Dans les lois humaines, l’être humain (fait d’os, de chair et de sang) n’existe pas. Le droit s’applique à la « personnalité juridique ».

Selon la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme :

Article 1 : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. »

C’est le seul article qui parle d’être humain. Remarquez qu’il n’est pas dit que les êtres humains « sont » libres et égaux. C’est valable pendant une très courte durée… jusqu’à la création de la personnalité juridique, qui n’est pas égale à toutes les autres en droit, elle dépend notamment du pays où elle est produite, et qui n’est pas libre.

Article 2.1 : « Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. »

Là on explique que cette déclaration est universelle : ce qui y est écrit ne dépend pas du pays où vous êtes ni d’aucun autre critère caractérisant l’être humain.

Article 6 : « Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique. »

Cet article indique que vous avez le droit d’utiliser votre personnalité juridique si vous le désirez. Ce n’est pas une obligation. Cela signifie que vous pouvez aussi à tout moment ne pas reconnaître votre personnalité juridique.

Notez qu’il s’agit d’une déclaration, elle est assujettie à la loi et sa portée n’est que déclarative.

Les lois et la personne

Les lois humaines s’appliquent uniquement à la personnalité (ou personne) juridique (ou légale), qu’on appelle souvent « l’homme de paille ».

Vous êtes titulaire d’une personnalité juridique, dont le propriétaire est l’Etat. Elle porte votre prénom ainsi que votre patronyme, écrits en lettres capitales.

Vous pouvez ainsi vérifier que les lois utilisent les termes : « toute personne », « tout individu », « tout citoyen ». Or vous êtes un être doué de conscience. Vous n’êtes ni une personne, ni un individu ni un citoyen.

Pour l’être humain ce qui s’applique est le droit coutumier, qu’on peut résumer en disant :

« Je peux faire absolument tout ce que je veux, du moment que je ne nuis pas à autrui et à sa propriété. »

Contrats commerciaux

La loi humaine s’occupe uniquement d’échanges commerciaux. Le juge possède un maillet et il tape 3 fois pour conclure une « affaire », comme le commissaire-priseur d’une vente aux enchères.

La personnalité juridique est une marchandise assujettie aux lois de la mer. Les affaires internationales sont régies par la loi maritime ou loi de l’amirauté. Il s’agit de l’Uniform Commercial Code (UCC).

Dans la loi, tout est contrat. C’est votre personnalité juridique qui peut contracter avec une autre entreprise.

Comme toute entité pouvant effectuer du commerce et donc des affaires juridiques, la REPUBLIQUE FRANCAISE (PRESIDENCE) est une entreprise commerciale, enregistrée dans le registre du commerce. Elle a ainsi un numéro SIRET et SIREN. https://www.societe.com/societe/republique-francaise-presidence-100000017.html

La tromperie du NOM

On peut dire que ce qu’on appelle la « fraude du NOM légal » consiste à faire croire aux être humains qu’ils sont la personne juridique, ou qu’ils sont obligés de reconnaître (représenter) leur personne juridique.

La tromperie du NOM consiste à laisser croire aux êtres humains que le droit humain est écrit dans leur langue. L’utilisation des lettres capitales n’est pas du français, c’est du LATIN-DE-CUISINE. Vous arrivez à le lire et vous avez l’impression que c’est du français, mais c’est une langue étrangère qui possède ses propres termes et définition. Il est donc primordial de la comprendre !

Après notre venue au monde on demande à notre père (ou représentant légal) d’aller présenter l’enfant à la mairie. Il s’agit du père supposé, celui-ci n’a aucune garantie d’en être réellement le père biologique, contrairement à la mère. On produit alors la personnalité juridique de l’enfant avec le PRENOM choisi et le NOM du père légal (ou PATRONYME).

Selon la loi maritime, si on ne donne pas de nouvelles au bout de 7 ans on est considéré comme perdu en mer. C’est ce qui se produit pour l’être humain qui est considéré comme mort et l’Etat devient propriétaire de sa personne juridique.

Voir les détails NOM légal et personne juridique.

Lors de la création de la personne juridique on produit un certain capital de naissance qui correspond à l’équivalent (calculé statistiquement) de tout le fruit de votre travail futur au cours de votre vie.

Remarque sur les données biométriques

Les mondialistes ont la volonté de mettre en place des moyens d’identification utilisant des données biométriques (empreintes digitales, reconnaissance faciale, puce RFID ou autre technologie insérée dans le corps, ADN etc..).

Ceci leur permettrait de lier définitivement l’être humain biologique avec la personnalité juridique. Et là, tout ce qui est dit à propos de la possibilité de ne pas reconnaître sa personnalité juridique tombe à l’eau (c’est le cas de le dire).

Hiérarchie des textes juridiques

Un petit rappel sur la hiérarchie des textes juridiques, qui devrait être connue de tous.

Tout en haut se trouvent les textes juridiques internationaux, dont font partie la loi maritime, le « Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) » et le « Code de Nuremberg » par exemple. Ensuite on trouve la constitution, les lois nationales (comme le Code Civil français), les décrets, les arrêtés et les circulaires. Encore en dessous on va trouver des textes à portée plus limitée, comme les règlements intérieurs.

Il est évident qu’un texte ne peut pas outrepasser un autre texte de niveau supérieur. C’est une évidence, et pourtant on a pu constater que ce n’était pas toujours respecté dans la pratique. De nombreux décrets ou arrêtés ont été émis pour des raisons dites « sanitaires » qui violent les lois nationales et internationales.

Si un texte de portée inférieure pouvait violer les textes supérieurs, imaginez les conséquences. Un gouvernement pourrait créer les lois qu’il souhaite et les traités internationaux n’auraient absolument aucune utilité. De même, le maire d’un village pourrait lui-aussi écrire les lois qu’il voudrait, violant toutes les lois nationales et internationales. Un employeur pourrait produire un règlement qui ne respecte pas le code du travail et les conventions signées. Il pourrait même construire une prison et un échafaud dans son entreprise pour punir les employés qui ne travaillent pas comme il le désire !

Il est donc important de connaître la hiérarchie des texte et que celle-ci soit respectée. Un président qui viole les traités internationaux signés par le pays dont on lui a généreusement délégué la charge via notre personnalité juridique est un dictateur.

Cependant, il n’est pas exclu que la démocratie puisse se trouver en conflit avec les droits de l’homme. Le principe démocratique rend a priori légitime toute décision issue de la volonté populaire, et ne reconnaît aucune autorité supérieure à celle du peuple-souverain. (Voir source.)

L’argent est une dette

L’argent est une chose fictive. Cela ne correspond pas à un équivalent en ressources réelles. Ainsi, lorsque vous achetez une maison, si la banque vous fait un prêt il s’agit d’une somme qui est créée à ce moment. Aucune ressource réelle nouvelle n’a été produite (la maison existait déjà), c’est seulement un nombre qui a été ajouté à la somme d’argent sur la planète.

Lorsque la valeur du prêt vous est mise sur le compte dont vous êtes titulaire, cette dette a déjà été remboursée deux fois, la première étant lorsqu’on a généré votre capital de naissance. On vous demande ensuite de la rembourser une troisième fois avec des intérêts. La banque n’a jamais possédé cet argent, elle vous « prête » une valeur irréelle générée à la demande. Sachez aussi que puisque les banques sont propriétaires de vos comptes bancaires et que c’est vous-même qui les gérez, vous faites le travail de banquier et vous pourriez demander un salaire pour cela. Et ils ont réussi à inverser les choses puisqu’on vous fait désormais payer les comptes que vous gérez !

Une banque ne produit jamais de ressources, elle ne fait qu’ajouter de la dette sous forme d’argent. Les banquiers sont simplement des voleurs : ils vous prêtent ce qu’ils n’ont jamais eu et vous obligent à leur rendre avec des intérêts. L’argent est le moyen de mettre en esclavage l’être humain au moyen d’une dette déjà payée.

(Vous pouvez demander à la banque de vous fournir une preuve que vous leur devez quelque chose, cela lui sera impossible. Les documents qu’elle devrait fournir pour prouver une dette légale sont les suivants : une preuve de décaissement, une comptabilité réelle, une facture signée portant la mention « facture » et un contrat signé des deux parties.)

Les banquiers devraient se rappeler ce qui est dit dans la Bible (Deutéronome 23:19-20) : 

« Tu n’exigeras de ton frère aucun intérêt ni pour argent, ni pour vivres, ni pour rien de ce qui se prête à intérêt. »

L’essentiel à retenir

L’être humain conscient n’est soumis qu’aux lois naturelles (universelles ou divines). Il est obligé de tomber s’il perd l’équilibre et il a le droit de ne pas perdre l’équilibre. Pour lui, en principe, seul s’applique le droit coutumier : « Je peux faire ce que je veux, du moment que je ne nuis pas à autrui et à sa propriété. »

S’il le désire, l’être humain a un droit inaliénable : celui de pouvoir faire reconnaître sa personnalité juridique. Il a aussi le droit de ne pas la reconnaître. Personne ne peut obliger l’être humain à obéir aux lois humaines.

La personne juridique est une marchandise. L’être humain en est le titulaire, pas le propriétaire car celui-ci est considéré comme disparu en mer.

La mise en place de documents d’identification utilisant les données biométriques permettrait de lier définitivement l’être humain à sa personnalité légale.

Les lois humaines régissent les échanges commerciaux. Toute « affaire » juridique consiste donc en l’établissement d’un contrat par la personnalité légale avec une autre société marchande.

Les échanges commerciaux internationaux, ainsi que les affaires judiciaires qui en sont aussi, sont régis par la loi de l’amirauté, qui est au-dessus des lois nationales.

L’argent n’est pas l’équivalent d’une ressource mais d’une dette. Une banque est une société qui vous prête ce qu’elle n’a pas et qui a déjà été payé par votre capital de naissance, puis qu’on a généré une deuxième fois pour elle, et qu’elle vous demandera de lui rembourser une troisième fois avec des intérêts. L’argent est le moteur de l’esclavage des êtres humains considérés comme ressources humaines, dont les banquiers sont les complices.

Références

Fraude du NOM légal et souveraineté: Invité chez Saber Solo

Voir l’excellente vidéo La fraude du nom, un entretien avec David Vincent dans la maison Ananda

La Tromperie du code Justinien : Résumé et explorations (version longue)

La Fraude du NOM vs Jackfruit

Common Law Court, c’est quoi ?

Vos droits juridiques qui vous sont imposés à votre insu ! (1)

Conférence interactive de Jean Noel Mendy : La représentativité (avec Waks)

Michèle Kriticos (sur vk)

Vidéo La fraude du NOM légal (Hydro Gene)

La fraude du nom légal, l’arnaque la plus incroyable

Voir aussi Romley Stewart et Jacques Antoine Normandin.

Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948

Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789

Code de Nuremberg (1947)

Code civil (France)

Législation Internationale DROIT ET ASSURANCES MARITIMES

La hiérarchie des Lois, décrets, arrêtés, directives

Mes autres articles sur le sujet :

NOM légal et personne juridique

Être vivant et lois

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