
Des liens étranges unissent le dieu Pan, la panique, la pandémie et le Pandémonium. De plus, la médecine adore ouvertement le diable. Voyons tout ça en détail.
Le dieu Pan
Pan est un dieu de la mythologie grecque, mi-homme mi-bouc, violeur de chèvres et d’humains, qui vit en compagnie des satyres.
Grec ancien Πάν / Pán « tout », ou πάειν / páein « faire paître ». A aussi donné « païen ». Pan est le dieu des troupeaux.
L’apparence de Satan n’est jamais décrite dans la Bible, mais, depuis le neuvième siècle, il a souvent été représenté dans l’art chrétien avec des cornes, des sabots fendus, des pattes velues et une queue. Il s’agit d’un amalgame de traits dérivés de diverses divinités païennes, notamment Pan.

La pandémie, la panique et le Pandémonium
Pandémie : épidémie étendue à toute la population d’un continent, voire au monde entier. Du grec ancien πανδημία, pandêmía, composé de pân et δῆμος, dễmos (« peuple », « gens ordinaires »), à l’origine de PIE *da-mo- (« division »), à partir de la racine *da- (diviser). Le mot « pandémie » est employé pour la première fois en anglais (« pandemic ») en 1666 par le médecin britannique Gideon Harvey dans son livre sur la tuberculose, Morbus Anglicus, or the Anatomy of Consumptions.
Panique : du dieu Pan dérive le mot panikos qui a ensuite donné « panique ». Une peur que l’on qualifie de panique est une peur qui déborde la raison et la pensée logique. La panique de Pan est une peur collective, elle est liée à la foule hystérique en raison de la capacité qui lui était attribuée de faire perdre l’humanité aux guerriers en plein combat.
Le Pandémonium : (du néologisme originel anglais Pandæmonium, plus souvent orthographié Pandemonium) est en littérature la capitale imaginaire de l’Enfer où Satan invoque le conseil des démons.« Pandémonium » est un mot apparu en 1667 (juste après pandémie, un hasard), sous la plume du poète et pamphlétaire anglais John Milton qui le créa dans son livre intitulé Le Paradis perdu.

Milton était un illuminati sataniste franc-maçon (affichant le signe « triad claw », le M W et 666), comme Louis Pasteur, Hitler, Staline, mais aussi Bill Gates ou Justin Trudeau, et tous les dirigeants nationaux ou directeurs des institutions et entreprises internationales, ainsi que les célébrités.


Le cas de la grippe A
En 2011 la définition de pandémie de l’OMS a été modifiée pour ne pas prendre en compte le nombre de décès mais uniquement les « cas ». (Le concept de cas étant largement controversé comme on l’a vu avec l’inefficacité de la méthode PCR et l’incapacité à définir correctement la maladie et ses causes.)
La grippe A-H1N1 n’avait en effet pas fait assez de morts, des millions étaient annoncés et il n’y en a eu que 18.036 confirmés au final (source OMS). Les grippes deviennent donc de ce fait des pandémies. Comme cela a été dit en 2016 « l’OMS nous condamne à l’alerte sanitaire mondiale à perpétuité ».

La médecine adore Satan
Les logos de la médecine et des pharmaciens représentent un caducée, un attribut du dieu Hermès, avec un ou deux serpents. Dans le discours d’endoctrinement c’est parce que le venin de serpent était utilisé comme médicament. Le nom d’Hermès a donné l’hermétisme, qui est l’ensemble des sciences occultes et dont une autre définition est « qui recherche l’obscurité pour l’obscurité« .
Charles Baudelaire applique à Satan, assimilé à Hermès, l’épithète « trismégiste » (« trois fois très grand » en grec) dans Au Lecteur, le poème prologue des Fleurs du Mal :
Sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste
Qui berce longuement notre esprit enchanté,
Et le riche métal de notre volonté
Est tout vaporisé par ce savant chimiste.
On trouve ce logo sur le ventre de Baphomet, une autre représentation de Pan ou de Satan, mi-homme mi-bouc avec des attributs sexuels à la fois masculins et féminins. L’inversion, la confusion et le mélange des sexes est un autre thème des satanistes transhumanistes qui sont à la tête des institutions mondiales de la « santé ».

Un site médical et des affiches pour la promotion d’un vaccin (qui est en réalité une thérapie génique pour non-malades à base d’ARNm en phase 3 d’expérimentation sur la population) qui montrent le signe « 666 » de la main. Une publicité pour cette même injection par l’UNICEF montrant la femme écarlate (Apocalypse 17) avec une bague rouge. Un nom de virus qui se décompose en 666.

Pour aller plus loin
Vaccins : la catastrophe immunitaire
Le jeune diable et le vieux diable
Triad Claw – L’humanité est victime d’un ancien complot satanique
LA KABBALE : SON HISTOIRE ET SES SECRET ANTIQUES A AUJOURD’HUI
TOP 30 SIGNS & SYMBOLS USED BY THE ILLUMINATI
Bague rouge occulte des illuminatis et coronavirus
Quels animaux symbolisent le diable ?
