Il y a un peu plus d’un siècle, un vieux chimiste hémiplégique a inoculé la rage à des enfants. La rage tuait à l’époque moins de 10% des gens contaminés par morsure d’un chien certifié enragé. Le taux de mortalité parmi les heureux élus contaminés ayant eu droit à son traitement fut de 15%. En 1886, 17 personnes sont mortes de la rage en France. La même année, 53 personnes dont 18 français traités par cet homme sont morts de cette même maladie. Grâce à cette prouesse médiatisée, en jouant un peu avec les chiffres, le titre de bienfaiteur de l’humanité lui a été remis par ses amis psychopathes philanthropes. Cet homme c’est Louis Pasteur, qui est devenu un véritable héros et son nom est le plus répandu pour les établissements scolaires et de recherche en France. Il n’a jamais essayé ses remèdes miracles sur lui-même, évidemment. Mais c’était le début de la catastrophe des vaccins, qui continue encore aujourd’hui.

Rappels de la théorie
En théorie la vaccination consiste à injecter dans le corps d’un individu une bactérie ou un virus affaibli avec pour objectif de provoquer une réaction du système immunitaire.
Or on sait que l’inactivation est seulement temporaire et qu’elle dépend du milieu. Cela signifie que le virus ou la bactérie peuvent se réactiver dans l’organisme vivant dans lequel on les a injectés. On a pu le constater avec l’ensemble des vaccins ayant existé : ils provoquent parfois la maladie contre laquelle ils sont supposés protéger, parfois en provoquant davantage de nouveaux malades que ceux avec la maladie naturelle.
Le vaccin est aussi basé sur le principe du monomorphisme microbien, qui est faux, comme l’a montré Tissot.
Pour plus de détails voir –Médecine : généralités-.
Le cas DTP
Obligatoire et pratiquement unanimement acceptée sans remise en question de la part de la population et encore moins des professionnels du milieu médical qui ne cherchent même plus à se renseigner du fait de leur endoctrinement et leur intérêt à défendre leur profession basée sur un ensemble de mensonges, la vaccination contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP) est un bel exemple de supercherie dont les effets néfastes sont certainement très loin d’être terminés.
Toxicité des adjuvants
On sait que les adjuvants tels que l’aluminium sont hautement toxique pour l’homme, pourtant on continue de les injecter par ces vaccins. Pourquoi les utilise-t-on ? L’objectif est de produire ce qu’on appelle l’affaiblissement, l’inactivation ou la mort d’une toxine telle que celles de la diphtérie et du tétanos, produisant ce qu’on appelle des anatoxines. Comme cela a été montré, notamment par Tissot, on sait désormais que l’effet d’inactivation est seulement temporaire, dans le meilleur des cas.
Les gourous de la médecine osent prétendre que ces adjuvants servent à stimuler le système immunitaire, ce qui est une fois encore un mensonge. Au mieux on n’en a absolument aucune idée, et dans le pire des cas on soupçonne que c’est le contraire qui se produit, surtout à long terme avec l’empoisonnement aux métaux.
Inefficacité du vaccin
Comme l’explique le Dr Ancelet, la vaccination contre la diphtérie et le tétanos est « totalement inefficace ».
La diphtérie sous sa forme naturelle a peu à peu disparu et, on le sait maintenant, ce n’est en aucun cas le résultat de la vaccination mais de l’évolution normale due à l’adaptation immunitaire des humains. Parallèlement le nombre de cancers du larynx a fortement augmenté corrélativement à cette vaccination de masse obligatoire.
Concernant le tétanos, cette infection très rare continue de faire des victimes, notamment chez les personnes vaccinées. D’un autre côté des milliers de personnes non vaccinées continuent de se piquer chaque année à leurs rosiers traités au crottin de cheval sans jamais être infectés.
Voici le graphique montrant le nombre de victime du tétanos en France. Je n’ai pas pu trouver les chiffres avant les années 1920, qui correspond à l’époque où le vaccin a été élaboré et commencé à être injecté dans la population. Une autre remarque importante montrant la fourberie des psychopathes de la médecine : la plupart du temps on trouve des graphiques destinés à montrer le lien entre la baisse des décès avec la couverture vaccinale et qui commencent après les années 1950 ! Or tout laisse à penser en voyant le graphique plus complet que c’est précisément cette vaccination qui a provoqué l’importante croissance du nombre de morts. La baisse survenant ensuite n’est pas due à la vaccination mais à l’habituelle baisse qu’on observer pour n’importe quelle maladie naturelle, traitée ou non. Dans certains cas une amélioration de l’hygiène de vie, avec l’eau courante et utilisation du savon, a permis d’avoir des effets plus spectaculaires sur ces maladies en accélérant leur diminution.

Concernant la poliomyélite, le vaccin a été élaboré en 1955. Le vaccin oral qui était donné en France depuis cette époque a été interdit en 1982 à cause de multiple accidents paralytiques chez les vaccinés et les personnes en contact avec eux. Mais il est toujours en vente et il a été intégré dans les programmes de vaccination des enfants du Tiers monde.
En Inde, 20 à 30% des enfants atteints de poliomyélite paralytique étaient à jour dans leurs vaccinations. Au total, de 1980 à 1995, c’est 1.200.000 enfants qui ont été atteints d’une paralysie plus grave que la maladie elle-même à cause de ces injections inefficaces.
En France, de 1977 à 1990 c’est 10% des cas enregistrés (11 sur 108) qui étaient dus au vaccin. La différence de proportion et la baisse générale est liée à l’évolution des conditions sanitaires.
Fournir de l’eau propre (et non traitée avec des poisons comme le fluor comme on le fait) ainsi que du savon devrait être la priorité absolue pour diminuer les décès de diverses maladies infectieuses. Allez dire ça à votre médecin, aux laboratoires pharmaceutiques et à vos dirigeants, ils vous riront au nez. Rappelez-vous aussi que ce n’est qu’à partir des années 1960 que les premières cellules virales ont été observées au microscope électronique.
Effets collatéraux très graves
On constate que la vaccination est corrélée à une augmentation d’autres maladies et pathologies souvent très graves. Parfois certaines de ces maladies n’existaient pas ou très peu, comme la sclérose en plaques, l’autisme et divers cancers (poumons, larynx)
Un enfant sur 500.000 recevant sa première dose de vaccin oral de la polio sera paralysé. Tous excréteront toute leur vie des virus vivants, dont un certain nombre de mutants, par les voies digestives et respiratoires. Les seuls cas graves aujourd’hui recensés sont dus à une contamination par ces sujets vaccinés.
Alternatives moins néfastes
On imagine encore souvent que le tétanos et la diphtérie sont incurables, ce mensonge est nécessaire pour continuer de vendre des injections toxiques inutiles.
Il existe des traitements efficaces contre le tétanos s’il n’est pas trop avancé, par exemple les antibiotiques comme le métronidazole. Souvent on ne les donne pas s’il n’y a aucun symptôme. Je me suis personnellement coupé plusieurs fois et à l’hôpital on ne m’a jamais proposé de prendre ce genre de médicament, par contre on me demandais systématiquement si j’étais à jour dans mes vaccin et que « dans le doute on devrait refaire l’injection ». C’est totalement aberrant ! Si une personne est déjà infectée, ce n’est pas en rajoutant la toxine (supposée à tort inactive) ainsi que des adjuvants toxiques sans donner un traitement contre la toxine qu’on augmente les chances du patient.
Heureusement pour moi, même si je n’étais jamais à jour dans mes vaccins je n’ai pas accepté bêtement cette injection supplémentaire. Je suis toujours vivant et je n’ai pas à me soucier des effets à long terme.
Toutes les maladies infantiles comme la polio, la tuberculose, la diphtérie, le choléra ou la variole peuvent être soignées par l’hygiène de vie, l’homéopathie, la phytothérapie et l’aromathérapie par exemple.
On a constaté aussi que l’incidence d’une maladie infectieuse des enfants était étroitement corrélée à un manque d’allaitement maternel, voire d’amour. La polio touche en effet principalement des jeunes enfants dénutris. Mais on a préféré recourir à la vaccination de masse des nouveau-nés, la destruction mondiale des structures tribales traditionnelles, avec malnutrition généralisée des mères du Tiers monde. Pire encore, au lieu de regarder cette vérité en face et agir pour résoudre les problèmes de nourriture et d’hygiène, on a continué d’appauvrir ces populations et on a eu recours à des laits maternisés industriels hautement pathogènes.
Conclusion
L’histoire des vaccins a commencé par une supercherie. Sans aucun fondement théorique, on continue encore de faire des injections inutiles et toxiques dès le plus jeune âge, à des enfants dont le système immunitaire n’est pas encore pleinement développé et ne le sera jamais à cause de celles-ci. Présenté comme un héros, Louis Pasteur est
On entend souvent dire que même si on sait que les vaccins sont néfastes et peuvent avoir des effets très graves, individuellement et collectivement, il faut quand même se vacciner « au moins pour le tétanos ». Vous constatez que ceci est une erreur liée à la mauvaise connaissance de la médecine et à la propagande mensongère des industries pharmaceutiques.
Les vaccins sont à l’origine de nouvelles maladies, et la solution proposée par les laboratoires et soutenue par les institutions corrompues est de vouloir créer d’autres vaccins contre celles-ci.
L’obligation de la vaccination DTC est toujours appliquée en France, et on y a même ajouté de nouvelles injections toxiques, inefficaces, aux effets encore partiellement inconnus et potentiellement incontrôlables. Les produits injectés, que ce soit les adjuvants ou les anatoxines, provoquent de nouvelles maladies et pourraient avoir des conséquences désastreuses sur l’humanité et l’équilibre microbien planétaire.