Médecine : généralités

On entend actuellement tellement d’absurdités à propos de la médecine et des microbes que je me suis résigné à faire cet article et une vidéo sur ce sujet. Il est vraiment temps de reprendre quelques bases et de faire connaître les recherches qui ont été passées sous silence dans le but de vendre des médicaments.

Médecine traditionnelle et moderne

La médecine est la « science qui a pour objet l’étude, le traitement, la prévention des maladies; art de mettre, de maintenir ou de rétablir un être vivant dans les meilleures conditions de santé. »

On dit que le père de la médecine est Hippocrate. Ce qu’on nomme médecine moderne est basée sur la prise de médicaments et diverses méthodes de chirurgie.

Il existe de nombreux autre types de médecine que celle des médicaments, en voici quelques exemples :

  • Homéopathie
  • Acupuncture
  • Naturopathie
  • Phytothérapie
  • Yoga
  • Mésothérapie
  • Ostéopathie
  • Réflexologie
  • Sophrologie
  • Etiopathie
  • Hypnose
  • Médecine quantique (ondes)

Pratique réservée aux médecins

Je ne suis pas médecin. Alors de quel droit je me permets de parler de médecine ? Pourquoi je dirais des choses plus vraies que ceux qui ont passé une dizaine d’années à apprendre ce qu’il y a dans leurs livres ?

La médecine qu’on appelle moderne est principalement une science du médicament. Un médicament est une molécule spécifique qu’on appelle « principe actif » associée à un substrat.

La médecine est devenue avant tout une industrie du médicament, c’est-à-dire de la vente de molécules.

Or elle est entièrement basée sur des concepts désormais rejetés par la science :

  • Matérialisme (physicalisme)
  • Localisation des phénomènes et de l’information
  • Néodarwinisme et information génétique (mutations aléatoires)

Actuellement, grâce aux avancées dans l’interprétation de la physique quantique notamment, on sait que :

  • La matière est une projection d’autre chose de plus fondamental, l’information. (« Ce n’est pas la représentation qui émane du réel, mais c’est plutôt le réel qui émane d’une représentation. » Olivier Costa de Beauregard)
  • L’information est partagée de façon non locale
  • Les modifications génétiques ne sont pas aléatoires mais dépendent du milieu et de la finalité. Il n’existe pas de sélection faite a posteriori.

Organisme vivant

On dit souvent que nous sommes constitués d’environ 60-70% d’eau. Il s’agit de la proportion en terme de masse.

On peut aussi dire que nous sommes constitués de 99% de molécules d’eau et de 1% d’autres molécules. Nous sommes donc par définition de l’eau impure.

La masse et le nombre de molécules étant des visions purement matérialistes, on peut aussi s’intéresser à la vision actuelle de la physique : vibration, énergie et information. Nous sommes donc de l’eau informée.

Voir –L’eau et ses secrets

Test PCR

On parle beaucoup de tests PCR puisqu’ils sont l’indicateur utilisé pour le nombre de « cas » de covid-19. Il ne s’agissait pas d’un test mais d’une méthode.

« La méthode PCR (Polymerase Chain Reaction) est une technique d’amplification d’ADN in vitro. Elle permet d’obtenir un très grand nombre de copies d’une séquence d’ADN choisie. »

Le « Test » PCR est une énorme escroquerie sanitaire, très lourd de conséquences

Voir aussi https://academic.oup.com/cid/article/72/11/e921/5912603

  • L’importance du nombre de cycles de PCR (Ct), à la fois dans le compte rendu clinique et dans l’interprétation clinique
  • Qu’à l’exception des cas d’hospitalisation extrême (qui n’ont pas été étudiés), tous les cas positifs détectés avec la RT-PCR plus de 10 jours après l’apparition des symptômes ou l’exposition correspondaient à des virus non infectieux (fragments de virus morts) (aucun virus n’a pu être cultivé dans des cultures cellulaires optimales)
  • Qu’aucun délai n’a été observé pour la détection de ces virus non infectieux (fragments de virus morts), car ceux-ci ont été obtenus, avec une Ct=28-39, jusqu’à 60 jours après l’apparition des symptômes ou l’exposition.
  • Qu’à moins de 10 jours, avec un Ct=18-40, près de la moitié des « positifs » étaient des virus non infectieux (fragments de virus morts)
  • Un seuil opérationnel de Ct=30, au-delà duquel les « positifs » ont moins de 40% de probabilité (<8% à Ct>35) de correspondre à un virus viable, indépendamment du temps relatif à l’apparition des symptômes ou à l’exposition (leur figure 2)

On vit actuellement une « pandémie » où le seul indicateur utilisé est le « nombre de cas ». Or celui-ci est confondu avec « le nombre de résultats positifs cumulés obtenus par des tests PCR ». Des personnes ont effectué plusieurs tests PCR, et on assimile le nombre de tests à un nombre de personnes contaminées. Il ne s’agit pas de nombre de cas.

Remarque : il y a quelques décennies les écouvillons étaient introduits dans la narine de quelques centimètres, sans atteindre la membrane céphalo-rachidienne. Demandez-vous pourquoi cette pratique a changé en 2020 pour le coronavirus SARS-cov2.

Masques

Depuis les années 1970 (il y a plus de 50 ans) des études ont été faites sur l’efficacité des divers types de masques en milieu hospitalier. Or jusqu’à 2020 elles ont toutes montré qu’il n’y avait pas d’effet bénéfique notable et qu’au contraire le nombre d’infections était supérieur avec l’utilisation de masques.

Postoperative wound infections and surgical face masks: a controlled study : une équipe de chirurgie générale n’a porté aucun masque pendant deux ans dans la moitié de ses opérations. Après 1 537 opérations réalisées avec des masques, le taux d’infection des plaies était de 4,7 %, tandis qu’après 1 551 opérations réalisées sans masque, le taux d’infection des plaies n’était que de 3,5 %.

Les 20 États américains qui n’ont jamais ordonné aux gens de porter un masque à l’intérieur et à l’extérieur ont des taux de mortalité COVID-19 nettement inférieurs à ceux des 30 États qui ont rendu le port du masque obligatoire. La plupart des États sans masque ont un taux de mortalité COVID-19 inférieur à 20 pour 100 000 habitants, et aucun n’a un taux de mortalité supérieur à 55. Les 13 États qui ont un taux de mortalité supérieur à 55 sont des États qui ont imposé le port de masques dans tous les lieux publics.

https://laveritesansmasque.blogspot.com/2020/08/lorsque-les-chirurgiens-lors-des.html

Rappelons par ailleurs que les épidémies de grippe A-H1N1 ont été très importantes dans des pays asiatiques qu’on prend pour exemple de port du masque. L’argument des défenseurs des décisions discutables qui ont été prises en 2020 est toujours le même : sans ça, ça aurait été pire. Il ne s’agit pas d’une affirmation vérifiable.

Microbes, virus et bactéries

« Un microbe est un organisme microscopique vivant (ou potentiellement vivant). Pour vivre et se développer, il a besoin d’un milieu organique favorable à son développement. »

« Les bactéries sont de petits organismes microscopiques d’une taille inférieure à 500 microns, visibles seulement au microscope optique. Ils sont constitués d’une seule cellule et vivent en colonies.
Cette cellule est faite d’une paroi protectrice qui entoure un noyau percé d’orifices et contenant un chromosome unique qui constitue son matériel génétique. »

« Les virus sont des organismes ultramicroscopiques, inférieurs au dixième de micron, visibles seulement au microscope électronique. Ils ne peuvent vivre et se multiplier qu’en parasitant une cellule vivante. »

Les bactéries et les virus sont donc des microbes.

Le terrain

Pour Béchamp la maladie active le microbe.

La vision actuelle confirme la vision de Béchamp. Rappelons aussi que Pasteur a déclaré lui-même sur son lit de mort que Béchamp avait raison.

« Le conflit à l’origine de la maladie est antérieur à toute infection, et le système immunitaire va moduler le travail des microbes en phase de guérison afin de restaurer ce que nous nommons terrain. Quant à la contagion, elle que nous pouvons considérer comme un processus infantile d’imitation (Rudolpf Steiner), elle ne concerne que les êtres ayant une vulnérabilité commune, les mêmes carences, les mêmes conflits, les mêmes peurs, sinon personne n’aurait jamais survécu à une épidémie. »

On peut résumer cette théorie par cette citation (dont je ne connais pas l’origine) :

« Il n’y a pas de maladies, seulement des malades. »

Monomorphisme ou polymorphisme microbien ?

Debré : « Chaque maladie doit maintenant trouver son germe ».

On en déduit ensuite « à chaque maladie un vaccin ».

Le monomorphisme microbien consiste en l’affirmation qu’un type de microbe ne peut pas se changer en un autre. Un staphylocoque ne pourrait pas devenir autre chose comme un champignon, un virus ou une bactérie.

Selon le polymorphisme, il est illusoire de distinguer un virus d’une bactérie, puisque l’un peut devenir ou provoquer l’autre. On sait désormais que cette vision est correcte (voir notamment Tissot) :

« L’endogenèse microbienne décrit l’apparition spontanée de microorganismes à partir des structures internes de cellules saines ou en souffrance. C’est la négation de la panspermie et de l’asepsie des être vivants dans ce qu’ils ont d’absolu et de définitif. Effectivement nous verrons que la biologie moderne a pulvérisé les cloisonnement entre virus et gène, par la découverte des gènes vagabonds (transposons) et la troublante analogie entre les rétrovirus et rétrotransposons. L’activation et l’amplification du microbe n’est alors plus la cause mais la conséquence d’un déséquilibre, dont il faut désormais chercher l’origine ailleurs. Si la santé reste encore à définir, la maladie est à redéfinir d’urgence, de même que la notion de guérison. »

Le polymorphisme microbien a été décrit et photographié par Tissot :

Lorsque les conditions environnementales perturbent la physiologie cellulaire, la transformation réversible de virus – bactérie – champignons, formes issues des flores symbiotes ou de certains organites, devient possible.

Mutations

On pense encore qu’il existe des mutations aléatoires et une sélection, ce qu’on appelle néodarwinisme. Or celui-ci est considéré comme invalide.

« Pour qu’un pas évolutif se produise, un nombre incalculable de gènes doivent changer au hasard, mais en même temps et dans le même sens » (Hansueli Etter)

« L’invraisemblance à ce qu’un organisme puisse se former au hasard dans le sens d’une meilleure adaptation à de nouveaux rapports écologiques tend ainsi vers un ordre de grandeur qui dépasse de très loin toute mesure possible – et plausible. » (Wolfgang Pauli)

« L’évolution de la vie sur terre n’a pas compté sur des mutations aléatoires, pas plus qu’elle n’a besoin d’importer des organismes ou proto-organismes d’autres endroits du système solaire, comme l’avancent les théories de la ‘transplantation biologique’ en ce qui touche les origines de la vie. Au lieu de cela, la soupe chimique qui donna naissance aux premiers proto-organismes fut in-formée par les vestiges de vie extraterrestre transmis par le champ A. La vie sur terre a été transplantée non pas biologiquement, mais par l’in-formation. » (Ervin Laszlo, Science et Champ Akashique, 2005)

Voir –Le néodarwinisme en doute

La vie est partout

L’ADN et l’information de la vie

Virulence

On entend beaucoup parler de la virulence d’un virus (même étymologie ?) qui diminuerait avec le temps. En réalité si les effets d’un virus diminuent c’est parce que l’information est partagée (elle non locale et n’est donc pas individuelle).

Vaccins

« Substance d’origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l’égard d’autres infections. »

A ce jour il n’existe qu’un exemple de succès des vaccins utilisant un virus affaibli : la variole. (Celle-ci est désormais considérée comme éradiquée, bien que ceci n’a pas vraiment de sens absolu lorsqu’on connaît les mécanismes réels de l’évolution et l’effet Lazare.)

Le plus grand succès d’un vaccin a été obtenu en 1870. Le prêtre et médecin Collet doit faire face à une épidémie de variole, mais il ne dispose que d’une dose infime de vaccin. Il procède donc à une dilution infinitésimale du vaccin. La malades furent guéris et plus aucune contagion n’eût lieu après le 5ème jour de la prise par chacun. Il s’agissait d’une preuve de l’efficacité de l’homéopathie.

Un vaccin est basé notamment sur le principe que le polymorphisme microbien n’existe pas.

Des personnes qui ne seraient pas susceptibles d’attraper une certaine maladie peuvent ainsi être vaccinées inutilement contre celle-ci, risquant de ce fait des effets indésirables parfois très graves, dont la mort.

« Pasteur ignorait tout de la nature et la biologie des virus, tel celui de la rage qu’il inoculait pourtant à travers la peau des enfants sans tenir compte de leur sensibilité individuelle. »

Debré : « beaucoup de virus ont un mécanisme d’action qui échappe encore à nos tentative de caractérisation. »

« Leur véritables fonctions sont totalement ignorées, et pourtant on continue à les injecter bien vivants à des nouveau-nés, à des femmes enceintes, à des individus immunodéprimés, alors que la prétendue inactivation ne signifie pas grand-chose au niveau du virus, sinon de manière très transitoire. »

« La vaccination et la transgénèse font partie des ces techniques appliquées sans aucun fondement théorique solide. »

Médicament

Un médicament est composé d’une ou plusieurs molécules dites « actives » ainsi qu’un substrat supposé « inactif ».

Il ne tient généralement pas compte du terrain particulier de chaque organisme : on estime que s’il agit statistiquement d’une certaine façon alors il est considéré comme efficace.

Diagnostic, cause et symptôme

Un diagnostic consiste à caractériser l’état de l’organisme. Or il s’agit le plus souvent de la conséquence (parfois une simple information) et non de la cause, encore moins de la conduite à adopter.

La plupart des médecins vont donner des médicaments pour réduire les symptômes. Lorsqu’on a de la fièvre ou une douleur, celle-ci n’est pas la cause du problème mais un indicateur de la réponse de l’organisme.

La température idéale de multiplication des microbes est de 37°C. La température idéale pour la réponse du système immunitaire est plus élevée, vers 39°C. Faire baisser la fièvre c’est favoriser le développement métabolique des agents pathogènes en réduisant l’efficacité de la réponse immunitaire. Prendre du paracétamol augmente le confort immédiat mais favorise et fait durer plus longtemps l’état de maladie !

L’expérimentation en double aveugle

Ce genre de protocole ne peut pas s’appliquer à des thérapies comme l’acupuncture. De plus il s’efforce de supprimer l’effet de la conscience sur la guérison.

Voir –Effet placebo et nocebo

Médecine par les ondes

Les lits médicaux (Med Beds)

Médecine interdite

Références supplémentaires

Tissot sur le polymorphisme microbien

Les contradicteurs du siècle de Pasteur

Pasteur, un imposteur ?

REPROCHES AUX ENFERS – LOUIS PASTEUR LE CHIMISTE ET L’HOMME AVERTI DIEGO DER

https://www.worldometers.info/coronavirus/country/france/

Principe de l’amplification par PCR

Livres :

« Pour en finir avec Pasteur, un siècle de mystification scientifique », Dr Eric Ancelet (1998-2008, 4ème édition 2010)

« Réenchanter la science », Ruppert Sheldrake (2012)

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