Le néodarwinisme en doute

La théorie de l’évolution du vivant la plus répandue actuellement est le néodarwinisme. Le principal problème de cette théorie est qu’il n’en existe aucune preuve factuelle. La sélection se cache derrière la lenteur du processus et notre impossibilité à en observer les changements à notre échelle de temps. Cette théorie est basée sur des chaînons manquants, des hasards impossibles et des mécanismes inobservés. On nous dit de l’accepter sans discuter, alors que même Darwin n’y croyait pas. On évacue sans justification les incohérences, en ignorant de nombreux faits et expériences montrant que l’évolution n’est ni hasardeuse ni graduelle, ni même contrôlée par la matière.

Rappels sur la théorie néodarwiniste de l’évolution

La théorie standard actuelle expliquant l’évolution du vivant est le néodarwinisme. Elle se base sur les mécanismes suivants :

  • dérives génétiques spontanées par aberration de mitose, puis par pressions favorable ou défavorable du contexte selon l’époque.
  • viabilité; dans les cas où elle est favorable, de cette évolution chez les sujets initiateurs.
  • transmissibilité physiologique selon le mode reproducteur de l’espèce.
  • attractivité physiologique de certains sujets « mutants » générant une action de sélection sexuelle sur des populations.

De plus en plus de scientifiques considèrent qu’il faut y ajouter l’évolution par la modification des caractère acquis, ce qu’on peut appeler le lamarckisme. Charles Darwin pensait qu’il y avait une certaine hérédité des caractères acquis et qu’il existait même des évolutions conjointes entre plusieurs espèces. C’est ce qui lui avait permis de prédire l’existence d’un papillon qui aurait une trompe de presque trente centimètres de long, qui existe effectivement mais n’a été découvert qu’après la mort de Darwin.

Une théorie confirmée ?

Au départ une simple supposition, on peut imaginer que depuis que Darwin l’a énoncée de nombreuses preuves sont venues l’étayer. Eh bien, pas du tout !

Anomalies

Le plus gros problème de cette théorie est qu’il n’en existe aucune preuve factuelle. Le mécanisme de sélection se cache derrière la lenteur du processus et notre impossibilité à en observer les changements à notre échelle de temps. On nous dit de l’accepter comme ça.

L’évolution par mutations aléatoires devraient parfois mener à des insectes ayant des proto ailes ne leur permettant pas de voler. On a découvert des fossiles, de plus en plus nombreux. Malheureusement ce sont toujours des organismes aboutis.

On parle du chaînon manquant, au singulier, car le plus emblématique manque est dans la chaîne menant supposément de primates à l’homo sapiens. Mais en réalité il manque TOUS les chaînons de toutes les espèces.

Certains vont dire qu’on a réussi à modifier des espèces. On va parler du chien, du chat, et des animaux d’élevage. Mais en réalité on n’a fait que des races. Un chien reste un chien, on n’a jamais réussi à en faire un chat, ou un autre animal entre le chien et le chat. On a parfois réussi à mélanger des espèces comme le cheval et l’âne, dont la progéniture est le mulet, un e espèce stérile. Nous ne savons donc pas créer des nouvelles espèces viables.

Si les organismes subissent des mutations aléatoires, nous devrions pouvoir imaginer des évolutions vers la simplicité autant que vers la complexité.

Hypothèses du néodarwinisme

  • Des mutations isolées arbitraires peuvent provoquer des modifications de l’organisme
  • Les mutations sont dues au hasard des rencontres moléculaires
  • L’évolution et la sélection sont locales
  • L’évolution se fait progressivement
  • Les mutations favorables se propagent à la descendance
  • L’information d’un organisme est contenue dans la séquence des gènes
  • La mutation est la cause du changement anatomique

Essayons d’analyser ces hypothèses.

Mutations groupées

L’hypothèse de changements dus à des mutations aléatoires dans l’ADN est devenue pratiquement indéfendable. On a en effet découvert que pour obtenir une modification de l’organisme il faut plusieurs modifications de gènes se produisent ensemble de façon coordonnée. Un ensemble de mutation au hasard ne produira pratiquement que des modifications sans intérêt ou non viables, presque jamais d’amélioration. La nature produirait des millions d’organismes dégénérés pour un seul viable. Or ce n’est pas ce que nous observons.

Plusieurs mutations coordonnées doivent avoir lieu lors d’une modification d’un organisme.

Transformations forcées

On a montré que les modifications pouvaient être provoquées par exemple avec une modification de l’environnement.

Les mouches drosophiles, lorsqu’elles se développent dans un environnement très chaud obtiennent deux paires d’ailes. Lorsqu’on remet un environnement normal, elles continuent d’avoir quatre ailes, la proportion diminuant avec le temps. C’est un exemple d’une modification morphologique provoquée par une modification des conditions et d’héritabilité des caractères acquis.

La transformation est prédictible et ne va que dans un sens. En chauffant, on ne se retrouve pas avec des mouches avec trois ailes ou six ailes, ni avec des mouches sans ailes. Une mutation aléatoire devrait mener à différents nombres d’ailes, ensuite la survie et la reproduction de celles qui ont le meilleur nombre d’ailes produirait la sélection. Ce n’est évidemment pas ce qui se produit : les transformations semblent être des réponses efficaces liées au changement.

On a constaté la présence de bactéries dans les réacteurs nucléaires hermétiquement scellés. Les données scientifiques sont suffisantes pour affirmer qu’elles se formeraient spontanément dans les réacteurs, elles sont conçues pour se nourrir de radiations et les transforment en éléments moins nocifs pour les autres formes de vie.

En 2011 Luc Montagnier a montré avec des expériences qu’il suffit d’un champ électromagnétique à 7 Hz pour transporter l’information d’un modèle d’ADN, effectuer la transmutation des éléments et les assembler pour reproduire le modèle d’ADN à partir d’eau pure. Il n’y a donc même pas besoin des bons atomes pour construire l’ADN. D’ailleurs Fred Hoyle et le Dr Nalin Chandra Wickramasinghe ont découvert que 99.9 % des poussières dans le vide de notre galaxie seraient des bactéries lyophilisées.

Voir l’article –La vie est partout

L’évolution non locale

Une mutation hasardeuse d’une cellule, ou plusieurs coordonnées, menant à une modification visible ou invisible d’un organisme qui devra se reproduire jusqu’à ce que le nouveau gène soit bien diffusé dans sa population.

Admettons que parfois, par chance, des mutations coordonnées surviennent, favorisées par les conditions de l’environnement. Puisqu’il s’agit de hasard, on devrait obtenir un tas de modifications différentes.

Le Recensement international de la vie marine a pour objectif d’identifier et évaluer toutes les espèces océaniques passées, présentes et potentiellement futures. Grâce à ces données, les scientifiques ont eu la surprise de découvrir au pôle nord et au pôle sud 235 espèces identiques qui n’existent nulle-part ailleurs sur Terre. Ces espèces n’ont pas pu voyager d’un pôle à l’autre (notamment les escargot, vers et crustacés) et il semble très improbable qu’elles aient pu évoluer indépendamment pour donner des espèces absolument identiques par le fait du hasard et de la sélection.

Autre exemple : en 1997 le docteur Lingbao Chen et ses associés ont découvert que des poissons antarctiques et plusieurs espèces de morues avaient des protéines antigel identiques. Or toutes les preuves paléontologiques et paléo-climatiques montrent qu’elles ont évolué de façon indépendante. De plus elles sont morphologiquement très éloignées.

Il est difficile de penser que le hasard seul a pu mener à des espèces similaires dans des lieux indépendants.

Pas de chaînons

On a vu que pour qu’une modification apparaisse il fallait l’intervention synchronisée de changements dans les gènes. Par ailleurs cette modification sera généralement incomplète. On nous explique ainsi que l’évolution doit être graduelle. La lente progression n’est pourtant pas très crédible.

Imaginons que je sois une sorte d’insecte comme une fourmi. Par quel moyen peut-on imaginer une transformation graduelle de mon espèce vers une autre qui a des ailes et qui vole ? On doit trouver une histoire rocambolesque pour justifier que des mutations aléatoires se sont produites, créant une petite protubérance sur le dos. Au début celle-ci ne permet rien de plus, mais par chance c’est le genre d’originalité qui plaît aux femelles de mon espèce. Elle veulent toutes avoir des rejetons avec la même petite protubérance inutile. Je propage ainsi les gènes à ma descendance, enfin la moitié. Donc en supposant que les mutations conjointes de la protubérance se retrouvent bien ensemble et que les gènes de certaines de mes partenaires n’en annulent pas les effets, il y aura effectivement quelques enfants avec la protubérance. Et puis il y en a même qui ont muté dans le même sens, par hasard évidemment, et dont la protubérance est encore plus grande. Vous connaissez la suite : plus la protubérance est grande plus les insectes sont séduisants, donc ils ont plein de rapports sexuels alors que les autres regardent ou travaillent. Et puis un beau jour la protubérance est devenue tellement grande qu’elle a permis aux insecte de voler. Car par chances des nerfs et des muscles avaient été produits en prévision grâce au hasard.

Ce récit me semble surréaliste, pourtant c’est ce genre de fiction que doivent inventer ceux qui défendent encore le néodarwinisme.

On pourrait éventuellement y croire s’il existait des indices pour ce type d’histoires. Or il n’y en a aucun. On n’a jamais retrouvé de fossile d’insecte avec des semi-ailes. Il y a des insectes sans ailes, d’autres avec des ailes, c’est le cas actuellement et c’est pareil pour les fossiles. Rien n’indique qu’il a existé à une époque des animaux avec des organes ou des membres qui ne sont pas fonctionnels.

On ne devrait pas dire qu’il existe des chaînons manquants car il n’y a tout simplement aucune chaîne. Les espèces ne passent pas de l’une à autre par des modifications progressives.

Retour à la normale

Les modifications génétiques effectuées disparaissent après quelques générations. Ceci ne s’explique pas par la science matérialiste. Mais en supposant qu’une plante est davantage que son aspect matériel que nous observons ici, en modifiant ses gènes on ne modifie pas toute l’information éthérique, le champ morphique de la plante. Celle-ci redevient ce qu’elle doit être. Il semble donc que la modification au niveau des gènes ne se propage pas et qu’il se produit un retour à la normale. Il s’agit sans doute d’un phénomène lié à l’information non locale définissant l’organisme.

Ce que nous observons, c’est que contrairement à ce qui est supposé par le néodarwinisme, une mutation ne serait propagée que sur quelques générations. Il existe une information, qui n’est pas dans les gènes et qui sert d’attracteur. C’est comme s’il existait un plan d’une espèce ou d’un organisme, et que la matière s’efforçait de s’assembler selon ce plan. La modification d’un gène n’agit pas sur le plan et elle disparaît.

Nous savons que ce plan existe : la biologie avait eu l’idée en 1920 des champs morphogénétiques pour tenter d’expliquer comment un organisme pouvait se former. Ils avaient compris qu’une information locale ne pouvait pas suffire pour l’expliquer. Mais le matérialisme ne voulait pas d’entités abstraites et a promis qu’on aurait un jour la réponse, et que cette réponse serait forcément dans les gènes et l’ADN. On a attendu un siècle, mais rien n’a changé : les défenseurs de la sélection naturelle ont oublié ce qu’on savait déjà et que la physique a confirmé depuis.

L’information est ailleurs

La physique quantique actuelle explique que nous vivons dans un univers holographique, c’est-à-dire qu’en chaque point se trouve toute l’information.

La séquence des gènes ne peut pas contenir l’information suffisante pour définir la structure globale et les propriétés locales d’un organisme. Voir –L’ADN et l’information de la vie

Voici d’autres preuves montrant que l’information ne serait pas stockée sous forme matérielle dans les gènes :

L’effet Lazare : faire revivre les espèces disparues

Une pyramide de 22 mètres a été construite sur le lac Seliger. Une colonne d’énergie de 500 mètres de large s’est formée autour ainsi qu’un cercle de 300 kilomètres.

On a observé que les tempêtes et le mauvais temps étaient détournés de cette région. Quelques mois plus tard, le trou d’ozone au dessus de cette région avait considérablement diminué. De nouveaux ruisseaux sont apparus dans toute la campagne environnante et une cigogne y a même construit son nid.

Mais le plus étonnant fût l’apparition de fleurs d’une espèce qui était totalement éteinte ! C’était comme si l’information de l’ADN de ces fleurs disparues qui est inscrite dans des champs morphiques ou le Champ Unitaire avait été réactivé là par le champ d’énergie de la pyramide.

Voir l’article –La magie des pyramides

La génération spontanée

En 1837, Andrew Crosse a montré que de la matière minérale comme de l’oxyde de fer, placé dans un milieu stérile et subissant des effets électriques, produit des êtres vivants microscopiques au bout de quelques jours. Des sortes d’insectes microscopiques avec des pattes et des mandibules se créant à partir de métal et d’électricité.

Le mécanisme d’évolution ne se situe pas dans la matière mais au niveau de l’information éthérique.

Transformation énergétique

Qu’est-ce qui est arrivé en premier, l’œuf ou la poule ?

En 1993, un scientifique coréen, le Dr Dzang Kangeng a fait une expérience étonnante. Il a placé une poule dans une caisse fermée, reliée par un entonnoir à une autre caisse avec des miroirs où se trouvait un canard. Il a bombardé le canard avec un générateur électrostatique de haute fréquence. Quelques jours plus tard il a constaté que les œufs de la poule produisaient des hybrides canard-poule, dont 80% avaient un bec plat et une tête de canard.

Plus tard vers les années 2000, le Dr Peter Gariaev a effectué une expérience qui consistait à envoyer un laser doux sur des œufs de salamandre pour le rediriger ensuite vers des œufs de grenouille. Tous les œufs de grenouille ont alors produit des salamandres, à partir du matériel génétique de grenouilles. Toutes les salamandres étaient viables et ont pu se reproduire.

Donc entre l’œuf et la poule, celui qui est arrivé le premier c’est le canard et la salamandre !

Il est donc possible de produire une espèce particulière juste en envoyant son information sous forme électromagnétique sur une autre espèce, sans en modifier ses gènes. Les modifications des gènes seraient les conséquences résultant du changement énergétique et morphologique, et non la cause comme on le raconte habituellement.

C’est aussi ce qui s’est produit dans le cas des fleurs d’une espèce qui avait totalement disparu et qui sont réapparues à proximité d’une pyramide en Russie. (Voir mon dossier ou ma vidéo sur les pyramides.)

Cela montre qu’une modification énergétique de l’environnement semble être le mécanisme des changements de morphologie des êtres vivants, qui ne proviendrait donc pas de mutations aléatoires des gènes. Les modifications des gènes se produiraient ensuite seulement.

Sur quoi repose encore le néodarwinisme ?

L’information est partagée et tout indique que l’évolution ne se fait pas au hasard de mutations aléatoires. Le néodarwinisme est toujours défendu par des suppositions implicites. Même s’il est contraire à de nombreuses observations et aux théories modernes, on continue de le défendre en se fondant sur 2 points :

– il y a une corrélation entre les génomes de différentes espèces, qui fait qu’on peut les classer sous la forme d’un arbre de proximité informationnelle. Or, si les mutations sont la conséquence et non la cause du changement, ça explique aussi bien cette corrélation entre les gènes. (Les darwinistes devraient parler des momies de nasca.)

– le développement de fœtus semble suivre un chemin d’évolution : il aurait des branchies comme nos ancêtres poissons. Une fois encore ceci s’explique tout autant si on admet que l’information pour produire un organisme est sous forme d’un champ morphique non local qui s’est développé avec l’acquisition de nouvelles formes. Pour le néodarwinisme ça ajoute une nouvelle question : pourquoi l’information passée serait conservée dans les nouveaux gènes ?

Donc il ne suffit pas de trouver des observations approximatives qui soutiennent l’idée de néodarwinisme pour le prouver. Car ces observations s’expliquent aussi avec d’autres théories qui collent aux faits que celui-ci laisse de côté. Une théorie devrait tenir compte de la totalité des faits. Avec le néodarwinisme on fait l’inverse : on a décrété que c’était la bonne théorie, ensuite on a essayé d’en comprendre les mécanismes (mutation, gènes). Mais depuis qu’on sait que les gènes ne contiennent pas matériellement l’information complète, pourquoi s’obstiner à défendre cette théorie alors qu’on arrive à produire des modifications morphologiques sans toucher aux gènes ?

Nouvelles hypothèses

Des modifications de l’organisme sont corrélées à des mutations synchronisées d’un grand nombre de gènes
Les modifications morphologiques et les mutations sont des réponses dirigées
L’évolution est non localisée
L’évolution se fait par sauts
Les modifications effectuées sur les gènes ne se propagent pas à la descendance
L’information d’un organisme est contenue dans un champ morphique
Les mutations sont le résultat d’un changement anatomique

Les modifications n’étant pas hasardeuses mais des réponses adaptatives il n’y a pas de supposée sélection. L’évolution se produirait au niveau informationnel avant d’être produit dans la matière. Ainsi, la mutation des gènes serait la conséquence d’une modification du champ morphique de l’organisme.

Conclusion

La vision matérialiste nous force à penser que la matière est fondamentale et que tout le reste en émerge par accident : la vie, la conscience, la pensée, l’émotion. Tout se résumerait à des amas de molécules ayant l’illusion d’être autre chose.

On sait désormais grâce à la physique quantique que l’information fondamentale est immatérielle et non localisée. La contingence d’évolutions menant indépendamment à des espèces similaires n’est sûrement pas le fait du hasard mais indiquerait la matérialisation à plusieurs endroits à un moment donné de solutions existantes.

L’information n’est pas liée à un organisme physique en particulier. Si une espèce disparaît de la planète, son information existe toujours. Dans un environnement énergétique particulier on a réussi à récréer des espèces disparues : c’est l’effet Lazare.

Le néodarwinisme repose sur des hypothèses dépassées, comme celles du matérialisme réductionniste et de la localité de phénomènes, du hasard et du déterminisme. Ses mécanismes supposés ne sont pas compatibles avec les faits connus. Il n’y a pas de sélection pour que le plus fort en reproduction l’emporte. Le chaînon manquant n’existe pas car il n’y a jamais eu aucune chaîne. Il n’a pas existé d’insectes avec des demi-ailes.

L’évolution se produit dans l’information, créant de nouveaux champs morphiques organisateurs. Les mutations des gènes en seraient la conséquence et non la cause.

La vie n’est pas le fruit d’un hasard improbable, elle est partout. Les organismes sont les formes denses d’une information holographique, produite par une conscience organisatrice.

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