On retrouve des formes de vie dans des milieux très hostiles, dans des réacteurs nucléaires ou dans le vide de l’espace. Elle peut apparaître n’importe où dès que les conditions énergétiques sont propices.

L’information est partout
Comme je l’ai expliqué dans divers articles, on sait que l’information existe sous forme non locale : elle n’est pas en des endroits particuliers de notre espace-temps, elle est partout en chaque point du vide. L’information des être vivants n’est pas contenue dans la structure de la molécule d’ADN.
Voir –Les champs morphiques, la forme des choses– et –L’ADN et l’information de la vie–
« L’évolution de la vie sur terre n’a pas compté sur des mutations aléatoires, pas plus qu’elle n’a besoin d’importer des organismes ou proto-organismes d’autres endroits du système solaire, comme l’avancent les théories de la ‘transplantation biologique’ en ce qui touche les origines de la vie. Au lieu de cela, la soupe chimique qui donna naissance aux premiers proto-organismes fut in-formée par les vestiges de vie extraterrestre transmis par le champ A. La vie sur terre a été transplantée non pas biologiquement, mais par l’in-formation. » (Ervin Laszlo, Science et Champ Akashique, 2005)
Voir –DOSSIER : le vide, l’énergie et l’information–
Vie en milieu hostile
On a constaté la présence de bactéries dans les réacteurs nucléaires hermétiquement scellés. Les données scientifiques sont suffisantes pour affirmer qu’elles se formeraient spontanément dans les réacteurs, elles sont conçues pour se nourrir de radiations et les transforment en éléments moins nocifs pour les autres formes de vie.
Or il n’est pas possible de concevoir que ces bactéries seraient issues d’une lente évolution dans un réacteur nucléaire avec des mutations aléatoires et une soi-disant sélection des plus aptes à survivre et se reproduire. Tout simplement car aucune bactérie qui n’est pas déjà totalement adaptée à ce milieu extrêmement hostile ne peut apparaître, se développer et y survivre.
La théorie de l’évolution la plus admise actuellement, le néodarwinisme, n’a jamais fait ses preuves et n’explique pas de nombreuses anomalies. Elle se cache derrière une lenteur fictive des modifications hasardeuses pour nous faire accepter l’impossible. Mais cette théorie est erronée, il existe suffisamment de faits le montrant. Elle n’est même pas en accord avec les théories physiques actuelles et les recherches en biologie.
Voir –Le néodarwinisme en doute–
Partout sur Terre où on a cherché on a trouvé des formes de vie, dans n’importe quel environnement (chaud, froid, radioactif, acide etc.) et même jusqu’à 2.8 kilomètres de profondeur.
Formes de vie dans l’espace
La vie est partout, même dans le vide de l’espace.
Fred Hoyle et le Dr Nalin Chandra Wickramasinghe ont découvert que 99.9 % des poussières dans le vide de notre galaxie seraient des bactéries lyophilisées.
Or, selon les théories classiques, non seulement l’apparition de bactéries serait impossible dans ce vide, leur survie et leur reproduction aussi, mais en plus il n’existe même pas les éléments pour former ces bactéries. Ceci ne peut s’expliquer que si on remet en question le dogme affirmant qu’il faut des réactions thermonucléaires pour former des noyaux d’atomes plus lourds à partir d’hydrogène. Voir plus bas une expérience qui démontre que c’est en effet le cas (« L’eau qui devient ADN »).
(Fred Hoyle est un éminent astronome, connu surtout par le public pour avoir inventé le terme « Big Bang », alors qu’il s’opposait à cette théorie.)
Génération spontanée
On appelle génération spontanée l’apparition d’êtres vivants complexes à partir de matière inerte. Elle est considérée comme inexistante, ce que Louis Pasteur aurait montré dans ses expériences. C’est d’ailleurs ce qui permet la pasteurisation. Pourtant à l’époque de Pasteur des expériences avaient montré le contraire.
De la matière minérale comme de l’oxyde de fer, placé dans un milieu stérile et subissant des effets électriques, produit des êtres vivants microscopiques au bout de quelques jours, comme l’a montré Andrew Crosse en 1837. Louis Pasteur, en observant lui-même la génération spontanée, a décidé de rejeter ces expériences en prétextant que c’était « des erreurs qui ne méritaient pas d’être mentionnées ».
Ces observations de bestioles avec des pattes et des mandibules se créant à partir de métal et d’électricité étaient en désaccord avec la théorie de l’évolution et la conception purement matérialiste, des piliers indispensables pour créer une véritable industrie de la médecine et du médicament.
L’eau qui devient ADN
Luc Montagnier est connu pour être lauréat du prix Nobel pour la découverte du virus HIV. On a par ailleurs parlé de ses recherches sur la mémoire de l’eau, où il transmet à des laboratoires distants l’information. Ces travaux ont été relayés par quelques médias et n’ont jamais été niés, mais les scientifiques ont totalement ignoré ses résultats extraordinaires. Voici ce qui me semble son résultat le plus étonnant.
En 2011 il a effectué des expériences avec deux éprouvettes. L’une d’elle contenait de l’eau distillée, stérilisée et entièrement scellée pour garantir sa pureté. L’autre contenait de l’eau avec un échantillon d’ADN. Il a placé les deux éprouvettes l’une à côté de l’autre, puis les a soumises à un champ électromagnétique de 7 Hz et a attendu.
Dix-huit heures plus tard, des petits morceaux d’ADN s’étaient formés dans l’éprouvette d’eau pure !
Ceci est absolument impossible selon la physique matérialiste. L’eau est en effet composée uniquement d’atomes d’hydrogène et d’oxygène. Quant à l’ADN, c’est une molécule très complexe et formée de divers atomes comme le carbone (C) et l’azote (N). Or la physique standard n’admet pas la transmutation d’éléments à basse énergie : elle affirme qu’il faut pour cela des réactions nucléaires de fusion à haute énergie, comme dans les étoiles. Mais les faits sont là devant eux, ils ne peuvent le nier.
De plus l’ADN est une molécule complexe composée d’environ 3,3 milliards de paires de nucléotides.
Cette expérience est selon moi une des plus importantes et révolutionnaires sur la création de la vie. Pourquoi n’est-elle pas connue de nombreux scientifiques et du public ?
Elle montre ainsi que :
- la transmutation est possible à basse énergie
- l’information vibratoire de l’ADN suffit pour en reproduire une copie à distance
- un champ électromagnétique peut transporter l’information vibratoire de l’ADN d’un endroit à un autre
- il suffit d’un champ électromagnétique à 7 Hz (proche de la fréquence propre de notre planète à cette époque) pour transporter l’information, effectuer la transmutation des éléments et les assembler pour reproduire un modèle d’ADN à partir d’eau pure
Voir aussi un panorama complet sur l’eau et sa mémoire dans mon article –L’eau et ses secrets–
Conclusion
Sur Terre on trouve de la vie partout, même dans les environnements les plus hostiles comme des réacteurs nucléaires où se développent des bactéries parfaitement adaptées aux radiations et dont elles se nourrissent. Elles ne peuvent en aucun cas être issues d’une évolution lente et d’une sélection dans de tels environnements.
99.9% des poussières du vide de notre galaxie seraient des bactéries lyophilisées.
En 1837 Andrew Crosse avait découvert la génération spontanée d’organismes à partir de matière inerte stérile et d’électricité. Pasteur avait lui aussi observé la génération spontanée dans ses expériences mais l’a rejetée car elle ne cadrait pas avec les conclusions qu’il voulait.
On sait désormais qu’il suffit d’eau pure et des photons émis par de l’ADN pour reproduire à l’identique cet ADN, montrant que l’évolution n’a pas besoin d’être locale et prouvant par ailleurs la transmutation des éléments à basse énergie. Ce résultat extraordinaire obtenu en 2011 par Luc Montagnier n’a curieusement pas été mis en avant par les scientifiques et les médias. Beaucoup de scientifiques continuent de penser qu’il faut des réactions thermonucléaires, comme dans les étoiles, pour produire des atomes plus lourds que l’hydrogène et l’hélium.
Comme l’information n’est pas localisée, elle est partagée en tout point du vide et il suffit que des formes de vie soient apparues quelque part pour qu’elles puisse apparaître sur d’autres planètes ayant des conditions énergétiques similaires.
Cet ensemble de faits indiquent que la vie et l’évolution ne se limitent pas à notre planète. Un processus organisateur est à l’œuvre dans l’Univers. Il serait insensé de croire que la vie est rare, qu’elle est due au hasard et que nous serions la seule espèce intelligente.