Le champ éthérique du vide

L’éther est le milieu de propagation de la lumière, on devrait plutôt dire que la lumière est de l’éther perturbé qui se propage. L’éther a été exclu de la physique standard mais c’était une erreur, il est désormais de retour et serait le substrat dont sont formées toutes les particules. C’est un champ non local contenant toute l’information de l’Univers et dont le flux provoque ce qu’on appelle l’écoulement du temps.

L’éther n’existe pas, vraiment ?

Nous sommes en 2020. La plupart des physiciens et les passionnés de vulgarisation scientifique vous affirmeraient avec une arrogante certitude : « l’éther n’existe pas ».

Voici ce qu’on peut trouver sur certains sites qui servent pour beaucoup de référence du savoir (de la pensée unique) :

« En physique, l’éther était considéré comme la substance qui remplissait l’espace. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89ther

« S’il est bien clair que la physique n’a définitivement plus besoin du concept d’éther, le mot et l’idée sont maintenant employés en heroic fantasy. L’éther est donc souvent décrit comme le milieu de transmission de la Magie.« 

https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Ether-physique-page-4.html

Alors pourquoi a-t-on éliminé l’éther de la physique ?

Disparition de l’éther

On nous explique que c’est Einstein qui a définitivement écarté cette notion avec la relativité restreinte. Albert Einstein a bien affirmé en 1905 que selon lui il n’y avait pas besoin d’éther, mais il est ensuite revenu sur sa position après avoir élaboré la relativité générale.

Les expériences Michelson-Morley ont ainsi montré que la vitesse de la lumière était constante, indépendamment de la direction du mouvement de la Terre. Ceci confirmait l’hypothèse d’Einstein du principe de relativité dans la théorie de la relativité restreinte, qui explique que tout mouvement est relatif et qu’il est impossible de définir l’immobilité absolue. Or si on pouvait mesurer un mouvement par rapport à l’éther ce principe se révélerait faux.

Mais peut-on réellement en conclure que l’éther n’existe pas selon ce principe et le type d’expériences comme celles de Michelson-Morley ?

L’éther existe ?

En 1913 G. Sagnac a effectué une version rotationnelle de cette expérience. En 1925, Michelson et Gale l’ont effectuée par rapport à la rotation de la Terre. Or il a été montré que la vitesse de la lumière était différente dans le sens de la rotation et dans le sens inverse de la rotation.

En 1986 un article de E.W. Silvertooth est paru dans le journal Nature « Experimental detection of the ether« . Il s’agit d’une expérience financé par Air Force Systems Command, Rome Air Development Center, Griffiss AFB, et la Defense
Advanced Research Projects Agency
.

Cet expérience est l’équivalent de celle de Michelson-Morley effectuée avec une plus grande précision, dans le but de mesurer un mouvement relatif par rapport à l’éther grâce à des faisceaux optiques. La conclusion de l’auteur est que l’éther existe.

Cependant des analyses plus poussées de l’interprétation de ce genre d’expériences ont été effectuées ensuite, indiquant qu’elle ne permettent pas de différencier les résultats de la relativité restreinte avec celle de de la théorie de l’éther de Lorentz. Voir par exemple « A Replication of the Silvertooth Aether Experiment by Doug Marett« .

Ce genre d’expérience pose le même problème que celui de vouloir déterminer ce qu’est une ligne droite par un rayon lumineux qui suit une courbe géodésique, ou de vouloir découvrir si un objet est bien droit en utilisant une règle qui se courbe selon la forme de l’objet : ça ne peut pas marcher !

Mais pour montrer l’existence de l’éther, il ne faut peut-être pas vouloir mesurer un mouvement spatial par rapport à ce champ. On a dit qu’Einstein avait contredit l’existence de l’éther, mais plus tard il a changé d’avis et il a dit en 1920 quelque chose de vraiment fondamental qui n’a pas été entendu à l’époque et qui reste absent des études récentes dont je viens de parler (et les autres) :

« En résumant, nous pouvons dire : d’après la théorie de la relativité générale, l’espace est doué de propriétés physiques ; dans ce sens, par conséquent un éther existe. Selon la théorie de la relativité générale, un espace sans éther est inconcevable, car non seulement la propagation de la lumière y serait impossible, mais il n’y aurait même aucune possibilité d’existence pour les règles et les horloges et par conséquent aussi pour les distances spatio-temporelles dans le sens de la physique. Cet éther ne doit cependant pas être conçu comme étant doué de la propriété qui caractérise les milieux pondérables, c’est-à-dire comme constitué de parties pouvant être suivies dans le temps : la notion de mouvement ne doit pas lui être appliquée. » (Albert Einstein, 1920)

Les expériences de Michelson sont donc compatibles avec la notion d’éther à condition de lui donner les bonnes propriétés. Mais nous allons d’abord parler d’autres indication de l’existence de l’éther.

ADN fantôme

En 1984, le Dr Peter Gariaev a placé un échantillon d’ADN dans un cristal de quartz et l’a bombardé avec un laser doux pour observer le rayonnement réémis par l’ADN. Il a constaté que l’ADN absorbait le rayonnement et l’emmagasinait, comme s’il s’agissait d’un trou noir (vortex). On considère généralement que la lumière ne peut pas être stockée et qu’elle se déplace toujours à grande vitesse. Mais Gariaev a eu une autre grosse surprise.

Après avoir terminé ses observations il a mis de côté le morceau de quartz contenant l’ADN. Il a alors vu que la lumière continuait de tournoyer dans le même espace où ils se trouvaient auparavant, comme s’il existait encore un fantôme de l’ADN à cet endroit !

Tout se passe comme s’il existait un double énergétique ayant la même forme que la molécule d’ADN et qui est capable comme l’ADN matériel de faire tournoyer la lumière. On sait que cet ADN n’est pas lui-même constitué d’énergie électromagnétique (ni de matière évidemment) et il s’agit donc d’une énergie d’un type différent.

Il a ensuite utilisé de l’azote liquide (à -196°C) pour produire un froid intense et faire perdre la cohérence à la molécule fantôme. Mais au bout de 8 minutes le rayonnement revenait à nouveau.

L’ADN fantôme a persisté en cet endroit jusqu’à 30 jours après les expériences malgré divers refroidissements à l’azote liquide.

Cette expérience a été reproduite et ses résultats confirmés par R. Pecora en 1990. Pourtant la plupart des biologistes ne sont pas encore au courant et continuent de parler uniquement de la molécule d’ADN matérielle et de ne pas s’occuper de son double énergétique ni des propriétés étonnantes d’absorption de lumière. Or toute l’information qu’on suppose (à tort) contenue dans l’ADN serait plutôt dans le rayonnement qu’elle est capable d’emmagasiner et d’émettre.

Les spécialistes de la génétique actuels semblent ne rien savoir de tout ça. Comme les chimiste, ils font donc l’erreur de ne jamais se soucier de l’aspect vibratoire et éthérique de l’ADN. C’est pour cela qu’ils ne parviennent pas à comprendre comment est stockée et transmise l’information des organismes pour qu’ils se développent et puissent fonctionner, et qu’ils ne parviennent pas à prévoir ou soigner de nombreuses maladies qu’ils disent génétiques dont ils auraient trouvé le gène en cause. Voir la section L’hérédité manquante dans l’article –Les machins manquants

L’ADN peut absorber le rayonnement, le stocker en le faisant tournoyer, puis le réémettre modifié, contenant de l’information, en créant à cet endroit un fantôme d’ADN qui continu d’émettre le rayonnement piégé dans le vide.

Cerveau holographique

Il a été montré de diverses façon qu’on est capable de penser sans le cerveau matériel. Lorsqu’il s’agit du fonctionnement lié au corps physique (donc excepté lors des rêves et après la mort ou lors des expériences de mort temporaire) ce serait le cerveau éthérique qui prendrait le relais.

Il existe une maladie appelée hydrocéphalie, qui fait qu’une partie du cerveau est remplacée par du liquide céphalo-rachidien. Un neurologue, John Lorber, a étudié cette maladie dans des cas très graves où certains individus avaient jusqu’à 95% de leur cerveau remplacé par ce liquide. Voir –La pensée sans le cerveau-.

Un document de l’US Army de 1983 a été déclassifié par la CIA en 2003, « The Gateway experience« , explique notamment que :

  • Le cerveau ne produit pas la conscience
  • Le cerveau et le corps sont des créations holographiques de la conscience
  • Le temps et l’espace sont des illusions
  • La conscience existe hors du temps
  • La seule réalité est la conscience qui contient l’information
  • L’Absolu est en chaque point de l’univers et contient toute l’information sur l’ensemble

Double éthérique

Chacune de nos cellules contient notre ADN, et on a vu que celui-ci peut piéger le rayonnement électromagnétique reçu, le modifier et ensuite le diffuser.

Le fait que nous serions constitués de plusieurs corps, dont le plus dense est notre corps physique, est bien connu des différentes spiritualités depuis des millénaires. On parle souvent de 7 corps, dont le corps physique est le plus dense, accompagné d’une copie conforme de celui-ci qui l’enveloppe et s’étend de plusieurs centimètres autour de lui, ce qu’on appelle le double éthérique.

« Toute parcelle solide, liquide ou gazeuse du corps physique est entourée d’une enveloppe éthérique, reproduction exacte de la forme dense. Il est le véhicule du Prâna ou Vitalité. Il est intimement lié à la santé physique d’un individu. » (A.E. Powell, Le double éthérique, 1927. Date des sources de 1897 à 1920.)

La médecine devrait s’occuper du double éthérique. A noter qu’il s’agit précisément de la clé de la thérapie par les ondes (Tesla, med beds) mais que la médecine moderne occidentale avait complètement mis de côté car il est bien plus profitable de vendre des molécules très onéreuses appelées médicaments.

Ceci expliquerait notamment les histoires de membre fantôme : après une amputation de nombreuses personnes ressentent encore leur membre absent, peuvent parfois éprouver de la douleur.

Voir aussi –DOSSIER : médecine et guérison

éther et énergie noire

En analysant l’expansion de l’Univers les scientifiques ont découvert que celle-ci, au lieu de ralentir sous l’effet de la gravitation, était au contraire en augmentation avec le temps. C’est comme si un effet mystérieux repoussait les galaxies les unes des autres. Afin de ne pas remettre en question la théorie de la gravitation ils ont alors inventé le concept d’énergie noire. Celle-ci est de nature inconnue, tout ce qu’on sait c’est qu’elle a un effet antigravitationnel sur la matière.

Le champ d’énergie et d’information du vide

Curieusement, alors que la majorité affirme que l’éther n’existe pas, pratiquement tout le monde est d’accord sur le fait que le vide est empli d’un champ d’information non local et énergétique.

Voir l’article –Les différentes facette du vide

Alors si vous êtes face à un défenseur de la science de la pensée unique, vous passerez pour un fou ou un ignorant en parlant d’éther, mais on vous considérera comme un érudit si vous dites plutôt « vide quantique ». Il s’agit pourtant de la même chose !

La matière est éther tourbillonnant

« Toute matière perceptible provient d’une substance primaire, ou d’une ténuité au-delà de la conception, remplissant tout l’espace, l’Akasha ou éther lumineux, sur lequel agit le Prâna ou la force créatrice de vie, appelant à l’existence, dans des cycles sans fin, toutes les choses et tous les phénomènes. »

(Nikola Tesla, 1907, « La plus grande découverte de l’homme »)

Selon Tesla, la matière serait constitué d’éther qui prendrait une forme densifiée. Le Prâna, une énergie bien connue des sciences occultes (qui circulent via les chakras), ferait tournoyer l’éther en formant ce qu’on appelle des tourbillons ou vortex.

Cette conception est aussi un des fondements de la théorie de Nassim Haramein, qui explique que tout est vortex : une particule, un trou noir, notre corps physique etc.. Tout s’organise de la même façon dans l’univers selon une loi d’échelle (valable aussi bien dans l’infiniment petit que l’infiniment grand).

Voir par exemple –Scale unification, a universal scaling law for organized matter

La lumière en tant que perturbation de l’éther luminifère ne serait ainsi qu’un type particulier de vortex d’éther. Toutes les autres particules seraient aussi des tourbillons d’éther, formées de cette même substance et possédant des propriétés différentes (masse, charge, spin, longueur d’onde etc.) selon la façon dont elles sont mises en mouvement.

De plus on sait qu’il est possible de transformer de l’énergie en matière (et inversement) et d’obtenir des particules à partir de collisions d’autres particules dans un accélérateur de particules. Puisqu’on peut former des protons dans une collision entre des électrons ou des photons, cela indique bien qu’il n’existe qu’un seul type de substance qui prend différentes formes. Contrairement à ce qu’on explique souvent, la création de particules dans un accélérateur ne provient pas du fait qu’on les extrait du vide, mais seulement qu’on provoque des tourbillons d’éther !

Remarquez qu’on a là une théorie plus élégante que les modèles appelés théories de cordes, qui ont posé comme hypothèse que les particules seraient des sortes de vibrations de petites cordes dans un espace à au moins 10 dimensions mais n’ont jamais permis aucune prédiction, contrairement à la théorie de Nassim Haramein qui permet de donner la meilleure prédiction théorique de la masse du proton (et qui a même permis de préciser cette masse qui était mal mesurée à l’époque) et de se passer de l’existence de la matière noire et de l’énergie noire.

Notez bien que l’éther est un champ d’information non locale. Cela signifie que chaque parcelle du vide contient (ou accède à) toute l’information du l’Univers. Il en est de même des particules formée d’éther, c’est pour cela qu’on peut dire que tout est lié dans l’Univers, et que ce lien ne s’applique pas qu’au particules intriquées.

Les particules de matière sont de l’éther tourbillonnant sous l’effet d’un flux de Prâna.

Transmutation alchimique

L’alchimie parle des quatre éléments que sont la terre, l’eau, l’air et le feu. Il s’agit pas d’éléments au sens de la chimie mais en fait des quatre état de la matière : solide, liquide, gazeux et plasma. Le cinquième élément, la quintessence, correspond ainsi à l’éther, il s’agit de l’état fondamentale de la matière dont sont formés les autres à différentes densités.

Il serait possible de modifier le tournoiement d’éther pour passer d’un élément à un autre sans avoir besoin de réaction nucléaire.

Patrick Burensteinas, alchimiste, explique qu’il a élaboré une bouteille d’antimoine et que selon la personne qui essaye de la soulever celle-ci paraît plus ou moins lourde.

L’alchimie est la modification des vortex qui constituent la matière, en n’utilisant pas seulement les réactions chimiques des composants mais aussi grâce à la conscience (directement ou par le biais des esprits de la matière).

Mouvement dans l’éther

Au début de cet article j’ai parlé des expériences pour tenter de mesurer le mouvement par rapport à l’éther.

Selon Einstein, le mouvement modifie l’écoulement du temps. Mais le passage du temps ne serait-il pas toujours un déplacement par rapport à quelque chose ? C’est encore Einstein qui répond : l’écoulement du temps c’est le mouvement par rapport à l’éther.

L’erreur qui a été faite menant aux diverses preuves expérimentales et théoriques de la non-existence de l’éther a simplement été de penser qu’on pouvait lui appliquer certaines propriétés qu’il n’a pas. L’éther serait comme un fluide, mais pas un fluide composé de sortes de particules localisées dans notre espace-temps. L’éther remplit tout notre espace, mais il n’est pas quelque part dans l’espace !

Le mouvement par rapport à l’éther n’est pas spatial mais temporel.

Voir –Gravitation, éther et écoulement du temps

Conclusion

L’éther luminifère désigne en physique le milieu qui emplit tout l’Univers et qui sert de support aux ondes électromagnétiques.

Des expériences de physique ont tenté de mesurer le mouvement par rapport à l’éther. Mais ce type d’expériences ne permet pas de conclure dans un sens ou dans l’autre : cela revient un peu à essayer de démontrer que quelque chose est bien droit en utilisant une règle qui se courbe pour adopter la forme de l’objet.

L’éther est une réalité mais pour l’admettre il faut lui donner les bonnes propriétés. Il s’agit d’un champ holographique énergétique contenant de l’information non locale. Il ne faut pas voir l’éther (ou le vide) comme un champ par rapport auquel on peut se déplacer spatialement. En fait le mouvement par rapport à l’éther serait uniquement temporel. L’écoulement du temps serait lui-même le mouvement par rapport à l’éther.

L’existence de éther est aussi mise en évidence par l’ADN fantôme, le concept de cerveau holographique et notre double éthérique.

L’éther est la substance dont sont faites toutes les particules de matière et de lumière de notre réalité, qui sont différentes formes de vortex d’éther maintenu dans un état stable par un flux énergétique constant appelé Prâna.

Pour aller plus loin

DOSSIER : le vide, l’énergie et l’information

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