Le Mahâbhârata est le livre sacré de l’Inde ancienne, initiateur de la pensée fondatrice de l’hindouisme.

Contexte
Le Mahâbhârata est le livre sacré de l’Inde ancienne, initiateur de la pensée fondatrice de l’hindouisme. Il consiste en 106 000 vers répartis en 18 livres, pour un total d’environ 12000 feuilles (soit environ vingt fois la Bible).
Il aurait été écrit plusieurs siècles avant J.-C., mais il était transmis oralement depuis longtemps. Les estimations modernes remontent à plus de 5000 ans. Selon des ruines sous marines découvertes récemment, la civilisation dont il est question dans le texte aurait prospéré il y a environ 12000 ans.
L’histoire
Le Mahâbhârata raconte l’arrivée sur Terre d’êtres évolués, venus de l’espace à bord de vaisseaux (les vimanas). On parle de dieux dans le récit. Ceux-ci ont rencontrés des humains. Des enfants hybrides sont nés des accouplements entre les dieux et les humains, certains ont été éduqués dans des vimanas ou des villes des dieux, où on leur a notamment enseigné l’utilisation des technologies avancées dont ils disposaient.
Des guerres ont ensuite eu lieu entre les rois humains, les hybrides et les dieux. D’énormes destructions ont eu lieu, puis il a été décidé de punir l’humanité (ou de faire disparaître les preuves de leur passage désastreux ici ?) en provoquant le déluge. Les dieux sont ensuite repartis sur leur planète.
Planètes et êtres évolués
Le Srimad-Bhagavtam (un des livres composant le Mahâbhârata), chant I, chapitre XIV, verset 37, traite des voyages dans l’espace ainsi que de l’existence d’autres planètes, chacun dotée d’êtres intelligents.
La planète Brahmaloka, ou Satyaloka, le planète de Brahma, accueillerait les êtres les plus évolués de l’Univers.
Vimanas
Vimana signifie « Véhicule céleste » en sanskrit. Ce mot ancien, qu’on trouve dans le Mahâbhârata bien avant l’invention de machines volantes par notre civilisation, est encore utilisé actuellement pour désigner les avions actuels.
Le Mahâbhârata contient 8 chapitres, 100 sections couvrant 500 sutras relatifs à ces antiques appareils divins.

Armes épiques et bombe atomique
Pour l’anecdote, le « père de la bombe H », Robert Oppenheimer, était familier avec l’ancienne littérature sanskrite. Lors d’une interview au moment de l’essai de l’explosion de la première bombe atomique au Nouveau-Mexique il cite un passage du Bhagavad-Gîtâ (la partie centrale du Mahâbhârata) :
« Si le rayonnement de mille soleils devait s’embraser d’un seul coup dans le ciel, cela serait semblable à la splendeur du Tout-Puissant… Je suis devenu la Mort, le Destructeur des Mondes ; nous avons tous dû ressentir cela. »
Puis en 1952, après un autre test nucléaire, un étudiant de l’Université de Rochester lui a demandé s’il s’agissait de la première bombe atomique à exploser sur Terre. Voici la réponse d’ Oppenheimer :
« Oui, la première des temps modernes, bien sûr. »
Le déluge
Dans le Mahâbhârata, après la guerre terrible et la destruction de deux villes par une arme ressemblant étrangement à la bombe atomique, on raconte que les dieux se sont réunis pour décider du sort de l’humanité. Ils choisirent de provoquer le Déluge, similaire à celui décrit dans d’autres récits mythique comme la bible, les mythes babylonien, suméro-assyrien, grec, chinois etc..
Récit historique
Le Mahâbhârata est un livre sacré qui relate des faits historiques, parfois imagés pour pouvoir décrire certaines technologies très avancées comparées à l’humanité de cette époque. (Il ne s’agit pas d’un récit de science-fiction comme pourraient le rétorquer certains.)
De nombreux détails sont donnés sur les différents véhicules terrestres et célestes, diverses armes et leurs effets. On y trouve notamment la description d’explosions gigantesques avec des effets de radiations invisibles similaires à celle d’explosions nucléaires, qui n’étaient en théorie pas connus à cette époque.
Pour aller plus loin
« Vimanas« , Fabrice Bianchin (2015)