L’ADN et l’information de la vie

Qu’est-ce que l’ADN ? Cette molécule complexe a-t-elle pu se former « par hasard » ? Les gènes contiennent-ils vraiment l’information d’un organisme vivant ?

L’ADN et les gènes : l’hérédité manquante

Toute la théorie actuelle est basée sur le principe que les gènes contiennent l’information qui détermine l’anatomie d’un organisme. Les généticiens se contentent donc de classer les espèces et évaluer les modifications en faisant une corrélation des similitudes et des différences dans l’ADN des organismes.

On a vu que les gènes ne sont pas une sorte de programme qui est lu par les protéines pour produire l’organisme. Une algue unicellulaire peut en effet reproduire une partie de sa forme globale à partir d’un morceau qui ne contient pas son unique cellule.

De plus, le problème de l’hérédité manquante montre bien qu’un gène ou un ensemble de gènes ne peut souvent pas expliquer des points communs ou des différences entre des individus, ni prévoir ou guérir des maladies génétiques.

Enfin, on sait qu’il y a une transmission des caractères acquis ne faisant pas intervenir les gènes.

A final, il n’y a aucune raison de continuer de supposer que l’information d’un organisme est contenue dans ses gènes. Cette théorie est considérée comme obsolète par de nombreux chercheurs en biologie depuis les années 1970.

Voir aussi –Les machins manquants

Implications des champs morphiques

La physique quantique a montré que l’information est partagée en chaque point de l’espace et les implications sont nombreuses.

Quand des chimistes inventent une nouvelle molécule, il a été constaté que celle-ci n’arrivait pas à cristalliser au début. Comme si la substance nouvelle-née dans l’univers n’avait pas encore découvert à quelle température elle devait se solidifier. Puis un jour, parfois plusieurs années après sa conception, comme si elle comprenait enfin ce qu’on attendait d’elle, quelque part sur Terre elle durcit. Ensuite, partout sur la planète le même composé partage l’information et cristallise à la même température.

C’est une règle qui s’applique aux composés chimiques, mais à tout le reste aussi. L’information commune d’une espèce est partagée (comme l’instinct) sous forme d’un champ morphique. Si on emmène un chat sur une planète lointaine il continue de pouvoir accéder à la mémoire commune des chats. Une feuille d’un arbre sur une autre planète peut accéder à l’information générale des feuilles.

(Pour en savoir plus sur la théorie voir l’article –Les champs morphiques, la forme des choses-)

Imaginez que quelque part dans l’univers, il se crée une nouvelle molécule complexe. Elle apprendrait à connaître ses propriétés, puis partagerait son information partout. Il serait ainsi possible de la reproduire, et même que cette molécule réapparaisse toute seule ailleurs.

Savez-vous que 99.9% des poussières dans notre galaxie sont des bactéries lyophilisées ? On le sait depuis plusieurs décennies mais ça dérange beaucoup la théorie de l’évolution alors on évite d’en parler. On préfère encore laisser croire aux gens qu’on a besoin de chercher de la vie sur Mars alors qu’elle est déjà partout en chaque grain de poussière. On a aussi oublié de vous dire que Pasteur a préféré éviter de parler des expériences montrant la génération spontanée de vie à partir de minéral subissant des effets électriques. Sinon qui aurait cru à la pasteurisation et toute la médecine industrielle ?

La conception matérialiste qu’on nous a inculquée ne peut pas envisager que de la pierre qui ne contient pas les bonnes molécules peut devenir un être vivant contenant de l’ADN. Pourtant on peut même faire de l’ADN avec de l’eau pure, qui ne contient que de l’hydrogène et de l’oxygène. D’où vient le carbone et le reste ?

On ne va pas trop en parler car ceci ferait s’effondrer la chimie et la physique nucléaire, en plus de l’évolution et la médecine vendeuse de molécules. On serait ensuite obligés d’admettre qu’il ne reste comme sciences sérieuses que l’alchimie et l’astrologie.

Ervin Laszlo est parvenu à la même conclusion à partir de sa théorie du champ akashique (ou champ A), un champ non local qui contient à la fois l’information et une sorte de mécanisme qui provoque des effets sur le vide quantique de façon à influencer les choses et les événements (l’in-formation) :

 » L’évolution de la vie sur terre n’a pas compté sur des mutations aléatoires, pas plus qu’elle n’a besoin d’importer des organismes ou proto-organismes d’autres endroits du système solaire, comme l’avancent les théories de la ‘transplantation biologique’ en ce qui touche les origines de la vie.Au lieu de cela, la soupe chimique qui donna naissance aux premiers proto-organismes fut in-formée par les vestiges de vie extraterrestre transmis par le champ A. La vie sur terre a été transplantée non pas biologiquement, mais par l’in-formation. « 

En résumé

Il semble que l’idée que l’ADN et les gènes contiennent l’information pour produire un organisme soit erronée. La physique a montré que l’information est partout dans l’Univers.

L’ADN est universel car son information est en chaque point de l’espace. Ça expliquerait pourquoi on peut envisager que la molécule d’ADN existe sur d’autres planètes aux conditions énergétiques similaires. Sur ces planètes il existe sûrement des êtres ressemblant à des humains, à des chats et à des arbres.

Pour aller plus loin

Voir le dossier complet –DOSSIER : le vide, l’énergie et l’information

Voir le dossier complet –DOSSIER : La vie, création et évolution

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