La mémoire de l’eau (et ses autres secrets)

L’eau est l’élément à la base de la vie, notre corps est composé de 99% de molécules d’eau. Ce n’est pas une simple molécule telle que la voient les chimistes, c’est une entité vibrante et qui peut garder la mémoire de son environnement. (Contenu remis à jour dans le livre « L’Enchantement du 144 » (2023))

Cet article rassemble les différentes études sur l’eau et a pour objectif de dresser un panorama complet sur ses propriétés physiques, la mémoire de l’eau et les interactions entre l’eau et la conscience.

Je vous invite à regarder d’abord ma vidéo sur ce sujet avant de lire l’article plus complet.

Introduction : pourquoi parler de l’eau ?

Notre corps est constitué de 99% de molécules d’eau. (Pour un rappel sur le corps humain et sa composition plus précise voir mon article le corps humain.)

L’eau est dans toutes nos boissons, sauf pour ceux qui boivent de l’huile. L’eau nous sert à nous laver. On dit que la vie est née dans l’eau et elle est indispensable à la plupart des êtres vivants sur Terre. Elle est partout, on aime nager dedans ou prendre des bains.

La météorologie peut aussi se résumer à l’étude de l’eau avec un peu d’air. S’il y a des nuages, composés d’eau, le temps est nuageux. Si les nuages se désagrègent on obtient de la pluie, de la grêle ou de la neige. La brume et le brouillard sont eux-aussi de l’eau. S’il n’y a aucun nuage alors il fait beau. En fait la météorologie consiste à connaître l’état de l’eau en différents endroits. Le reste c’est du vent.

Pourtant l’eau est très mal comprise par les scientifiques lorsqu’ils essaient d’utiliser les modèles classiques et quantiques des molécules. Elle recèle de mystères inexpliqués pour la science matérialiste.

Mon expérience de l’eau

Lorsque j’étais étudiant j’ai été étonné de constater qu’on semblait pratiquement ne rien connaître sur l’eau et ses propriétés. Je me souviens d’un professeur qui avait dit qu’on ne savait pas calculer la température d’ébullition de l’eau. Quand on a étudié la physique quantique on faisait la blague que celle-ci pouvait tout juste permettre de comprendre l’hydrogène, l’atome le plus simple, mais pas au delà. En fait même pas: on pouvait à peine trouver une approximation de l’atome d’hydrogène seul dans le vide.

J’ai moi-même étudié expérimentalement l’eau lors de mon stage de fin d’études en DEA en 2003. Le titre à rallonge de mon travail était:

« Etude des effets primaires des rayonnements ionisants sur l’eau en phase liquide par spectrophotométrie d’absorption VUV de rayonnement synchrotron »

L’objectif était d’analyser comment de la lumière ultraviolette à différentes fréquences traverse une fine pellicule d’eau liquide. Cela permet ensuite d’en déduire les niveaux électroniques de l’eau, qu’on connaissait déjà pour sa forme gazeuse. Ça signifie qu’en 2003 quand j’ai fait ce travail, personne n’avait encore pu mesurer et interpréter les niveaux d’énergie dans l’eau liquide, qui est sa forme la plus courante et utile. Et encore il ne s’agissait-là que d’une vision très partielle de ses propriétés : on ne parle que de ses transitions électroniques dans le vide et il s’agissait d’eau pure. J’ai étudié plusieurs séries de mesures faites sur des échantillons différents. Ils s’accordaient globalement, mais certains ne concordaient pas précisément avec le reste.

Quelle a été la solution pour harmoniser ces résultats en désaccord ? Comme tout physicien normal, on évacue la question en disant qu’il s’agit d’une anomalie. On y ajoute une explication lancée sans justification qui satisfait tout scientifique paresseux, en l’occurrence j’ai dit que certains échantillons avaient sûrement été contaminés, qu’ils contenaient probablement un peu de CO2 qui s’est introduit dans l’eau au moment de la préparation des échantillons. (Je n’ai pas pu trouver où on en était en 2021 et si mon analyse était juste.)

J’agirais différemment maintenant, du moins si j’avais le temps et les moyens de le faire, et que l’objectif n’est pas uniquement d’avoir une bonne note à un examen ou augmenter son prestige auprès des responsables dans les laboratoires. Car la science ne doit pas avoir uniquement pour but de confirmer des modèles établis. Elle doit aussi, et surtout, s’intéresser à ce qui ne colle pas avec le reste, ce que les scientifiques appellent les anomalies.

Depuis ce moment j’ai beaucoup appris sur ce sujet, mais ça ne provient pas des grandes institutions scientifiques qui ne la comprennent pas et la méprisent.

Les mystères et anomalies de l’eau

Voici en vrac quelques anomalies de l’eau, terme employé par les scientifiques pour parler de ce qu’ils n’arrivent pas à expliquer avec leurs théories. (Le professeur Marc Henry a choisi de les appeler chances.) :

  • La température d’ébullition à 100°C. Celle-ci devrait-être inférieure selon le modèle.
  • La densité de l’eau. Elle atteint un maximum à 4°C, donc sous sa forme liquide. L’état solide (la glace) est moins dense que l’état liquide, c’est pourquoi les icebergs et la glaçons flottent.
  • La solvabilité très importante. On s’en sert pour diluer pratiquement n’importe quoi en grande quantité. C’est aussi grâce à ça qu’on peut se laver avec de l’eau, qui emporte avec elle la saleté.
  • Maximum de capacité calorifique isobare à 37°C. C’est la température pour laquelle on doit fournir le maximum d’énergie pour modifier la température. (Pour plus de détails sur la chaleur et la température voir mon article –Les états de la matière-.) C’est la température interne des mammifères, mais aussi la température optimale pour le métabolisme des cellules et des bactéries. Il est à noter que l’efficacité de notre système immunitaire comparée à celle des bactéries est plus grande à une température plus élevée, c’est pour ça qu’on a de la fièvre. Un médicament qui sert à diminuer la fièvre s’attaque aux symptômes de la guérison (pas ceux de la maladie) et rallonge le temps de guérison.

La mémoire de l’eau est impossible selon cette modélisation théorique limitée aux molécules et les interactions de proximité.

La forme de l’eau

Si vous renversez de l’eau vous constatez que l’eau forme des flaques et des gouttes. Dans des conditions données il existe une taille minimale des gouttes, qui dépend aussi de l’eau. Il n’est pas possible de couper une goutte d’eau en deux avec des ciseaux par exemple: une goutte entière restera sur une des deux lames.

La forme d’une goutte dépend du support sur lequel elle repose. On parle du caractère hydrophile ou hydrophobe du matériau. Si le matériau est très hydrophobe alors la goutte aura une forme plutôt sphérique pour diminuer sa surface de contact. Si le matériau est très hydrophile alors la goutte s’étale pour ressembler à une petite flaque. A l’extrême certains matériaux absorbent les gouttes, comme le papier.

La propriété physique correspondante s’appelle la mouillabilité du matériau.

De la molécule à la vibration

L’eau est une petite molécule légère, formée de deux atomes d’hydrogène et un atome d’oxygène. Sa formule chimique est donc H2O. (L’eau contient aussi divers ions comme HO et H3O+. Leur proportion relative est ce qui donne la valeur de ce qu’on appelle le pH, ou potentiel Hydrogène.)

Le chimiste va surtout se focaliser sur la liaison de l’hydrogène dans la molécule. Il va aussi ajouter un petit effet de liaison entre les molécules proches (Van der Waals), qui agissent comme de petits aimants. Généralement il va s’arrêter là pour modéliser l’eau.

En tant que molécule, l’eau n’a pas beaucoup d’intérêt, elle est légère et sa forme n’a rien de particulier. On ne doit pas imaginer les molécules d’eau comme des objets ayant une forme bien définie. Elles vibrent. Imaginez deux masses reliées par un ressort. La science matérialiste va davantage s’intéresser aux masses les plus lourdes, les objets les plus gros et à la forme de l’objet. Mais on sait que ce qui compte avant tout c’est la façon dont elle vibre. (Le ressort a aussi son importance.)

Plus une molécule est légère plus elle vibre fort.

Je vous invite maintenant à regarder l’eau (et tout ce qui existe sous forme matérielle) comme un orchestre jouant une symphonie.

Les chimistes observent les musiciens et leur instruments. Ils vont ainsi faire l’erreur de croire que le poids du musicien ou la taille de son instrument sont importants, ils vont constater que certains types d’instruments sont regroupés et en déduire un modèle de l’orchestre. C’est la vision au niveau des molécules, ou particules.

Un autre observateur un peu plus ouvert va écouter et analyser la musique produite par les instruments. Il va écouter les notes, comprendre comment les sons se mélangent, les harmoniques, l’atténuation et la résonnance. C’est la vision au niveau des ondes ou champs quantiques.

Enfin, un dernier observateur se demande comment joue le musicien. Il découvre que la musique n’est pas uniquement ce qu’il est en train d’entendre et de voir. Il comprend qu’on pourrait donner au flûtiste une autre flûte plus grosse ou plus petite, avec une forme différente et faisant un son différent. Le flûtiste pourrait être plus gros ou plus mince, être une femme au lieu d’un homme, être beau au lieu de moche, ce ne sont que des détails superficiels. Ce qui est important c’est façon de jouer de l’instrument, la partition de la symphonie et la synchronisation de l’ensemble de musiciens. Il réalisera ensuite que chaque musicien sait jouer d’autres musiques que celle qu’il entend actuellement dans cette salle. C’est la vision au niveau de l’information, ou champs morphiques.

Comme Wheeler, (dont je parle dans cette expérience en physique quantique -l’expérience de la gomme quantique à choix retardé-) on peut regarder le monde de trois façons qui s’approchent de plus en plus de la description complète de la réalité:

  • Les molécules et particules
  • Les champs : ondes, vibrations et fréquences
  • L’information

C’est pour ça que ceux qui disent que nous sommes constitués entre 70% et 85% d’eau se trompent (ou mentent) en gardant une vision matérialiste limitée. En nombre de molécules nous sommes plutôt à 99% d’eau. En terme de vibrations l’eau intervient encore plus près des 100%. On verra que quand on ne regarde que l’information, on peut dire que l’eau avec des impuretés la contient pratiquement en totalité.

Nous sommes une grosse goutte d’eau avec quelques impuretés, qui vibre et qui contient de l’information.

La mémoire de l’eau : les expériences

En 1988, Jacques Benvéniste publie une étude scientifique montrant la mémoire de la matière. Ces expériences remettent en cause l’existence même de la matière.

Article dans Le Monde sur l’étude de la mémoire de la matière

En 2011 le professeur Luc Montagnier a refait des expériences du même type avec du matériel un peu plus élaboré. Il pouvait désormais utiliser le réseau internet pour transmettre l’information d’une molécule (ADN) par la vibration de l’eau.

Mémoire de l’eau : modèle physique

Pour qu’une théorie soit considérée comme valide il faut qu’elle soit confirmée par les faits et avoir un modèle théorique plausible pour l’expliquer. Les expériences de Benveniste et Montagnier ont montré qu’elle s’accorde avec les faits. Existe-t-il un modèle physique pour l’expliquer?

La même année que la publication des résultats expérimentaux sur la mémoire de l’eau par Benvéniste, un modèle théorique est publié par Giuliano Preparata et Emilio Del Giudice.

Modèle théorique de la mémoire de l’eau

Ce modèle est très complexe et je ne vous l’expliquerai pas en détail ici. Je vais vous en donner les points qui me semblent importants (et compréhensibles):

  • Le modèle est basé sur la théorie quantique, plus précisément sur des travaux (récents à l’époque de la publication) de formulation de la dynamique collective des champs quantiques. Il ne s’agit d’une théorie physique sérieuse, on ne part par avec des hypothèses magiques.
  • Il prend en compte l’interaction entre le dipôle électrique de la molécule d’eau et le champ de radiation électromagnétique. Habituellement les physiciens négligent cette interaction, par paresse, par impuissance ou par dogmatisme. C’est pour ça qu’ils tombent sur des anomalies qui n’expliquent pas les propriétés de l’eau et excluent d’emblée l’idée d’une forme de mémoire.
  • Ce modèle ne parle pas d’eau pure, il décrit l’eau contenant des impuretés sous forme de macromolécules, de particules colloïdales et d’impuretés polarisées. Celles-ci semblent importantes pour la mémoire de l’eau, c’est pour ça que nous en contenons aussi environ 1% dans notre corps. (Sans doute en partie aussi pour qu’on ne soit pas sous forme de flaques d’eau qui ne peuvent pas faire grand-chose seules.)

La mémoire de l’eau est donc un phénomène bien vérifié expérimentalement par les expériences de Benvéniste reprises par Montagnier. Ce phénomène peut s’expliquer à l’aide d’un modèle valable basé sur une théorie scientifiquement complètement admise. Ceux qui affirment que l’eau ne peut pas avoir de mémoire et que rien ne l’a encore confirmé se trompent ou sont de très mauvaise foi. Luc Montagnier a obtenu le prix Nobel pour la découverte du VIH responsable du SIDA, mais on parle de lui comme d’un charlatan ou d’un fou lorsqu’il s’intéresse à la mémoire de l’eau et la montre par ses expériences. Avec un minimum d’honnêteté de la part des institutions scientifiques et du comité Nobel ça aurait dû être l’inverse.

Nous sommes en 2021 et le phénomène de la mémoire de l’eau reste encore très peu connu et risible pour la majorité qui n’a jamais pris la peine d’en étudier les preuves expérimentales et les théories physiques la soutenant.

L’eau qui devient ADN

Une expérience extraordinaire effectuée en 2011 montre qu’on peut transformer de l’eau pure en ADN !

Voir « L’eau qui devient ADN » dans l’article –La vie est partout

L’homéopathie

Habituellement, pour notre médecine moderne de laboratoire, on considère qu’un médicament est constitué de molécules agissant pour combattre le mal (les principes actifs) ainsi que d’autres molécules diverses aux effets réduits (les excipients). C’est la découverte et la production des principes actifs, déposés par des brevets, qui permet aux laboratoires pharmaceutiques de vendre cher leurs médicament. On peut dire que ces laboratoires sont des vendeurs de molécules onéreuses qui leur appartiennent. (Lorsque le brevet n’impose plus l’exclusivité de la production et la vente, d’autres laboratoires peuvent faire des médicaments génériques, avec le même principe actif. Les excipients peuvent alors être différents.)

Christian-Friedrich-Samuel HAHNEMANN est né en 1755 en Allemagne. Très sérieux à l’école et doué pour diverses choses, tout ce qui l’intéresse c’est d’apprendre. Grâce à ses connaissances et ses aptitudes linguistiques il travaille pour de grande bibliothèques royales. Son rôle est de classer les livres, pour bien faire son travail il prend la peine de les lire. Il s’intéresse aussi à la médecine, pas très efficace, en imaginant qu’il arrivera à trouver des nouveaux remèdes. Il obtient son diplôme de médecine en 1779. Mais les théories de la médecine sont douteuses et ne lui plaisent pas, elle sont incapables de comprendre les mécanismes des maladies et de les soigner. Il délaisse la médecine en 1790.

Quelques temps plus tard, son éditeur lui propose de faire la traduction d’un livre d’un médecin écossais au sujet du quinquina du Pérou. L’auteur prône l’ingestion de cette drogue, ce que Hahnemann essaye sur lui-même. Il constate que ça provoque sur l’homme en bonne santé les symptômes de fièvre intermittente, qui regroupait diverses maladies comme la malaria (aussi appelée paludisme). Il fait le lien avec ses lectures et se souvient de la loi de similitude énoncée par Hippocrate:

« Similia similibus curantur » (« Les semblables sont guéris par les semblables, ce qui produit la strangurie qui n’est pas, enlève la strangurie qui est . »)

Autrement dit, « Pour guérir une maladie, il faut administrer un remède qui donnerait au malade, s’il était bien portant, la maladie dont il souffre. »

Il y ajoute un second principe, qui est le fait que le principe actif agit par sa nature et non par sa quantité. Il procède à une dilution du principe actif (appelé alors teinture mère) dans l’excipient (le solvant). On constate aujourd’hui que plus la dilution est importante plus les effets augmentent. Par exemple en cas d’intoxication au plomb on peut atténuer les symptômes en buvant une solution fortement diluée de plomb. Plus l’intoxication est forte plus la dilution doit être importante, allant jusqu’à 1 part pour 10400. A ce niveau de dilution il n’existe plus aucune molécule de plomb, uniquement l’information du plomb. (Il n’y a théoriquement déjà plus aucune molécule si on est de l’ordre de 1 part pour 1027.)

Plus tard il découvre aussi l’effet de la dynamisation: le produit devient plus efficace si on le secoue. Il aurait découvert ça par hasard parce qu’il transportait ses remèdes sur son cheval.

En 1831, le Choléra se propage dans l’Europe Centrale. Hahnemann publia des articles sur le traitement homéopathique de la maladie, et fut à l’origine du déploiement de l’homéopathie dont le taux de guérison était de 96%, comparé au taux de 41% de l’allopathie. Malgré ses succès, quand Hahnemann a publié ses découvertes sur l’homéopathie les réactions n’ont pas été différentes de celles qu’ont subies Benvéniste et Montagnier. Ses contemporains, les érudits ardents défenseurs de la Vraie Science l’ont traité d’ignorant. Il a été rejeté et considéré comme un charlatan, même par sa famille.

Il est intéressant de remarquer que ce principe de dilution a aussi été utilisé pour des vaccins, de manière un peu forcée. En 1870, le prêtre et médecin Collet doit faire face à une épidémie de variole, mais il ne dispose que d’une dose infime de vaccin. Il procède donc à une dilution infinitésimale du vaccin. La malades furent guéris et plus aucune contagion n’eût lieu après le 5ème jour de la prise par chacun. C’est un des rares succès avéré des vaccins, or il s’agissait d’homéopathie.

Malheureusement pour nous et heureusement pour l’industrie pharmaceutique, on a mis en place un autre héros à cette époque: Louis Pasteur.

Remarque : je n’ai parlé que d’homéopathie utilisant l’eau comme support d’information. Je n’ai pas de preuves que l’homéopathie habituellement vendue sous forme de granulés sucrés fonctionne elle-aussi.

L’homéopathie montre qu’il n’est pas nécessaire d’avoir de molécules du principe actif dans un médicament, l’information de cette molécule suffit. Ceci s’explique grâce à la mémoire de l’eau.

Médecine par l’eau

L’homéopathie n’est pas la seule application médicale de la mémoire de l’eau. On peut par exemple agir d’autres manières sur l’eau de notre corps, par exemple à l’aide d’ondes électromagnétiques ou sonores. Médecine énergétique. L’effet n’est pas local : si on a un problème à l’estomac, il est possible de le traiter par d’autres endroits, comme le pied. L’information de l’eau se transmet dans l’ensemble des cellules de l’organisme.

Voir –DOSSIER : médecine et guérison

Pertes de mémoire

S’il est possible d’introduire de l’information dans l’eau, celle-ci peut diminuer ou disparaître dans certaines conditions (ou avoir moins d’énergie vibratoire). Des ondes électromagnétiques à une certaine fréquence et puissance modifient l’information. Je n’ai pas de détails précis à ce sujet mais il semble que faire chauffer l’eau au four à micro-ondes ou la conserver au réfrigérateur lui font perdre son information. De manière générale toutes les perturbations électromagnétiques (comme le wifi ou la 5G) peuvent la désinformer.

Il faudrait aussi éviter les bouteilles en plastique et n’utiliser que celles en verre.

Placer de l’eau à l’air libre au soleil permettrait de la réinformer, car les photons du soleil transportent l’information de l’Univers (qui est partout même dans chaque parcelle du vide) ainsi que de l’énergie pour la la transmettre à l’eau.

Biodynamie

L’agriculture biodynamique consiste en quelque sorte à appliquer l’homéopathie à l’agriculture. On évite l’utilisation d’engrais et de pesticides en les remplaçant par leur version informée.

L’écoulement de l’eau et les vortex

Lorsqu’on regarde des ruisseaux on constate qu’ils ont , on peut même dire fractale. L’eau naturelle qui s’écoule ne prend pas le chemin le plus court, elle suit des méandres. On pourrait croire qu’elle ne fait que s’adapter au terrain. Mais même sur une vitre parfaitement lisse l’eau préfère onduler sur sa trajectoire plutôt que d’avancer en ligne droite. De plus, l’écoulement en ligne droite empêche le développement des organismes vivants dans l’eau, que ce soit les poissons, les algues ou les microorganismes.

Viktor Schauberger a étudié l’écoulement et les vortex de l’eau. Il prône notamment l’utilisation de canalisations ondulées et certains principes à appliquer pour les berges des canaux, non seulement pour préserver les berges et faciliter la vie des organismes marins, mais aussi dans le but de la dépolluer et la dynamiser. Cela pourrait s’expliquer par les découvertes de Hahnemann sur la dynamisation et celles de Benvéniste sur la mémoire de l’eau auxquelles on ajoute la théorie de Sheldrake des champ morphiques, qui explique que la mémoire de l’eau n’est pas seulement locale car chaque goutte partage un champ morphique commun avec toute l’eau de la Terre. On verra que ceci est confirmé par les études de Masuru Emoto notamment ainsi que divers phénomènes liés à l’effet de la conscience sur l’eau.

(Il est à noter que l’être humain peut être considéré comme un vortex.)

L’écoulement naturel spontané de l’eau est une ondulation, qui se répète à différentes échelles. Les ondulations et les vortex permettent à l’eau d’être dynamisée et réinformée. Elle retrouve ainsi sa vie et sa mémoire.

Remarques sur le sens des tourbillons

Mais au fait, est-il vrai que les tourbillons d’eau tournent dans un certain sens dans l’hémisphère nord et dans l’autre sens dans l’hémisphère sud ? J’ai lu de nombreux débats (affligeants) sur ce sujet. Souvent ceux qui défendent cette idée invoquent la force de Coriolis due à la rotation du globe terrestre. Eh bien non, désolé.

On l’a vu, la molécule d’eau est légère. De plus, la différence de la force de Coriolis entre deux endroits situés à quelques centimètres l’un de l’autre est extrêmement faible. Si Un moyen d’obtenir cet effet serait de disposer d’un gigantesque entonnoir parfaitement lisse et symétrique. Celui-ci devrait être placé verticalement de façon très précise.

Ceux qui affirment avoir observé ce fait en regardant le sens de rotation dans un lavabo ou une baignoire dans chaque hémisphère devraient se poser plusieurs questions :

  • Une observation unique est-elle suffisante pour prouver un phénomène scientifique?
  • Les lavabos ou les baignoires utilisés étaient-ils parfaitement disposés?
  • D’autres effets ne pourraient-ils pas expliquer ce qu’ils ont observés? L

Comme on va le voir, les tourbillons ou vortex de l’eau sont plus complexes qu’on l’imagine et recèlent des mystères.

Le sens de rotation de l’eau du lavabo dépend essentiellement de la forme de l’évier, de la forme de l’orifice d’écoulement, et du sens initial d’écoulement de l’eau.

L’eau et la lumière

Un phénomène surprenant a été découvert par hasard à cause des sonars des sous-marins, en 1934. En émettant des ondes sonores (ou des ultrasons) dans l’eau celles-ci génère des bulles de gaz qui implosent en émettant des étincelles de lumière. On appelle ce phénomène sonoluminescence.

La température atteinte au cœur de la bulle serait de l’ordre de 20.000K, soit bien plus chaude que la température à la surface du Soleil (environ 5000K). La science n’a pas d’explication mais émet la supposition qu’il se produit une ionisation et/ou des réactions de fusion. Il est possible que dans ce phénomène sa cache plutôt l’énergie libre (ou énergie du vide).

La dépollution de l’eau

On sait que notre société actuelle pollue beaucoup et que cette pollution se retrouve inéluctablement dans l’eau. L’eau est un bien précieux, qu’on nous vend comme tel, elle est même rare à certains endroits. L’hygiène commence toujours par l’eau. De meilleures conditions d’hygiène expliquent même tous les prétendus progrès et diminutions de certaines maladies qu’on accorde aux vaccins et autres médicaments ou à l’amélioration des conditions de vie.

Traiter l’eau avec des produits comme le chlore n’est pas une bonne solution. En fait, la meilleure chose à faire serait de la laisser dépolluer toute seule grâce à ses tourbillons ou vortex.

Certains filtres comme des bâtons de bambou seraient très efficaces pour dépolluer l’eau du robinet. De plus il est conseillé de laisser l’eau quelques heures au soleil, à la fois pour laisser s’évaporer des éléments néfastes comme le chlore et pour réinformer l’eau.

L’accès à une eau de bonne qualité vaut bien plus que tous les médicaments.

Effet de la conscience

Sur l’expérience de Benvéniste. Lorsqu’il a été attaqué par les détracteurs de la mémoire de l’eau qui ont voulu vérifier ses expériences, ceux-ci ne voulant de toute façon pas imaginer d’effet de la conscience sur la matière, leur refus conscient a sans doute causé une partie des problèmes de reproductibilité. Parmi eux, une femme était particulièrement sceptique et même hostile à ce genre d’expérience. Lorsqu’elle était présente pour observer ça n’a jamais fonctionné. On en a profité pour vite conclure que si ce n’est pas toujours reproductible c’est que c’était une supercherie de la part de Benvéniste et que son expérience était foireuse voire frauduleuse. Mais en réalité on aurait justement pu en profiter pour aller plus loin et étudier l’effet, positif ou négatif, de l’observateur selon ce qu’il souhaite vraiment voir. Ceci a été fait depuis, notamment avec les travaux du Japonais Masaru Emoto sur les cristaux de glace.

Voir aussi –DOSSIER : les pouvoirs psychiques

Les cristaux de glace

Le Dr Masaru Emoto a mis au point une méthode pour produire des cristaux de glace et de les photographier. Il obtient des images étonnantes très différentes selon l’eau. Les traitements de l’eau, notamment avec le chlore, provoquent des cristaux malformés. On peut citer celle de villes comme Paris, Londres, Tokyo, Berne, Rome et Venise dont les cristaux n’arrivent pas à se former. Voici ce qu’il note comme effets agissants sur la formation des cristaux de glace et leur beauté:

  • Les traitements de l’eau potable
  • La pollution
  • La musique
  • Les images
  • Les mots
  • Les pensées

La meilleure recette pour obtenir une bonne eau serait d’éviter le chlore et de lui envoyer de bons sentiments (composés d’une dose d’Amour pour deux doses de Gratitude).

Une expérience assez similaire a été faite sur du riz. On place dans un bocal du riz avec une étiquette portant un mot comme « amour » et un autre bocal avec le mot « haine ». Ensuite chaque jour on va voir les bocaux pour leur envoyer les sentiments correspondant à leur étiquette. Le riz dans celui avec le mot et recevant les sentiments négatif pourrit plus vite que l’autre.

Après la publication de cette étude, de nombreux Japonais ont voulu essayer, confirmant généralement les résultats. Certains ont eu l’idée d’ajouter un troisième bocal, sans rien écrire ou avec le mot « indifférence ». Ils ont fait en sorte d’envoyer le moins d’émotion à ce bocal et de ne pas s’y intéresser comme aux autres. Ils ont pu voir que le riz dedans se dégradait encore plus vite que celui du bocal recevant de la haine !

L’eau semble réagir aux sentiments qu’on lui envoie. La pire chose étant de se désintéresser d’elle.

La bénédiction

Puisque l’eau contient de l’information et que la conscience agit sur elle, l’eau bénite est désormais envisageable. Voici une histoire racontée par Emoto:

En 1999, Emoto a réuni 350 personnes au bord du plus grand lac du Japon, le lac Biwa. Un vieux proverbe japonais dit que quand l’eau du lac Biwa sera propre, l’eau du Japon tout entier le sera. Il firent une sorte de prière d’amour et de paix. Un mois plus tard la presse rapporta que les algues putrides qui apparaissent chaque année et envahissent le lac en dégageant une puanteur insupportable, n’étaient curieusement pas apparues cette année-là.

L’eau de Lourdes serait informée par une conscience divine?

Voir aussi –Le pouvoir de l’amour

La téléportation et réincarnation

On a vu, notamment avec les expériences comme celles de Montagnier, qu’il est possible de stocker toute notre information dans une fiole d’eau. Avec cette information on peut reformer l’ADN et ce qui nous constitue. L’expérience de Montagnier est une façon de téléporter de l’ADN d’un laboratoire à un autre. Serait-il possible de faire la même chose avec un humain, partiellement ou en entier ? On pourrait utiliser cette méthode pour produire des copies d’organes.

Diverses expériences scientifiques et l’étude des cas de sorties hors du corps, volontaires ou pas, montrent que nous ne pouvons pas être uniquement notre corps physique mais aussi une information immatérielle liée au corps matériel. Cette information existe peut-être à différents niveaux de réalité: le corps astral, le corps mental, le corps éthérique, le corps causal etc. Certains résument cela en parlant juste de notre âme. On peut aussi faire le lien entre cette information et les champs morphiques de Ruppert Shledrake (voir ici Les champs morphiques).

Le principe de la téléportation basée sur notre information ne serait pas très différent de ce qu’on appelle la réincarnation. Mais, en supposant que ça soit faisable en pratique, je me demande ce qui se passerait lorsqu’on aurait les deux corps fonctionnant avec la même information (ou champ morphique). Serait-ce similaire aux cas de bilocation ? La conscience pourrait-elle se partager, voir et agir avec les deux corps en même temps, ou passer d’un corps à l’autre en laissant l’un des deux dans une sorte de sommeil ? Si la conscience est elle-même productrice de son corps physique comme l’expliquent les théories sur la réalité projetée par la conscience ou de l’univers hologramme, peut-être que l’un des corps disparaitrait si elle n’est pas capable d’envisager d’être partagée.

Il est à noter aussi qu’on rapporte de nombreux cas où des personnes ont eu des souvenirs qui n’étaient pas les leurs, visualisaient des lieux où ils n’étaient jamais allés et parfois des changement dans leur personnalité après avoir reçu une transfusion sanguine. Cela s’expliquerait par la mémoire de l’eau, le sang emportant son champ morphique lié au donneur.

L’eau avec son information semble être le lien entre la matière, la vie et l’esprit.

Pourquoi la science et les laboratoires ont peur de l’eau ?

L’étude des propriétés incroyables de l’eau n’est vraiment pas appréciée par les institutions scientifiques et les laboratoires pharmaceutiques. Les expériences sont pourtant relativement simples à mettre en place et peu coûteuses, elles reposent sur des bases théoriques solides et surtout les applications sont nombreuses et potentiellement extraordinaires. Je ne vois qu’une seule explication possible : ceux qui dirigent ces institutions et laboratoires n’ont aucun intérêt à ce qu’on les découvre. Cela remettrait en question les dogmes de la science matérialiste et cela ferait s’effondrer tout le système économique des laboratoires. Ces derniers sont en effet des vendeurs de molécules, généralement très onéreuses, qu’on appelle les principes actifs des médicaments. Leur objectif n’est pas de guérir à tout prix, au contraire il vaut mieux laisser l’humanité dans un état de maladie chronique pour que la médecine moderne continue d’exister.

De l’autre côté, ceux qui étudient sérieusement l’eau en tombent amoureux. Ils réalisent qu’elle n’est pas qu’une formule chimique très simple mais regorge de vie, qu’elle a une âme et qu’elle relie vraiment tout ce qui est vivant. Ils découvrent les pouvoirs de la conscience sur l’eau, donc sur l’univers et toute la réalité matérielle. De la même façon que la glande pinéale serait le lien entre l’esprit et le corps, l’eau est un lien entre l’information et la matière.

Résumé et conclusion

L’eau est plus proche d’un être vivant que d’un agrégat de molécules H2O. Nous devons nous voir comme des grosses gouttes d’eau contenant une infime proportion d’impuretés, qui nous permettent d’être solide et d’avoir une forme complexe. Ces impuretés, dont fait partie notre ADN, permettent à l’eau de former des agrégats (pouvant contenir des millions de molécules d’eau) et stocker sous forme de vibrations (et de champ morphique) une immense quantité d’information. Ceci peut être appliqué à la médecine et l’agriculture.

La pensée peut agir sur cette information. L’information et le champ morphique de l’eau se transmettent à toute l’eau de la planète, il est important d’avoir des pensées bienveillantes et de la garder propre, saine et dynamique.

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Quelques références :

Livres :

Everard Cordier, « L’Enchantement du 144 » (2023)

Masaru Emoto, « Les messages cachés de l’eau » (2014).

Jacques Benvéniste, « Ma vérité sur la mémoire de l’eau » (2005)

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